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Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115285]

PAPYHAND

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Posté le : 10/04/2019 à 13:06 (Lu 23393 fois)
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Manu Mayonnade nominé parmi les 5 meilleurs entraineurs d'Europe!

Une belle reconnaissance de son très grand talent !


Je le dis ici … Avis aux amateurs (très amateurs en matière de handball)


Par ailleurs ,une floppée de messines aussi nominées parmi les 5 meilleures à leurs postes !


Belle reconnaissance par les experts européens du hand, de ce que devient le MHB !!

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115286]

beillitse

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Posté le : 10/04/2019 à 13:27 (Lu 23380 fois)
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2ème flop!

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115288]

beillitse

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Posté le : 10/04/2019 à 20:09 (Lu 23241 fois)
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Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115294]

beillitse

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Posté le : 11/04/2019 à 00:48 (Lu 23105 fois)
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Dans un autre format, dans l'Equipe du jour

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115295]

françoise

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françoise

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Posté le : 11/04/2019 à 06:50 (Lu 23062 fois)
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rl di 11/04/2019

Nodjialem Myaro : « Il faut avancer après sa carrière sportive »
Nodjialem Myaro a vécu de glorieuses années avec l’ASPTT Metz en remportant notamment cinq titres de champion de France. L’actuelle présidente de la Ligue féminine revient sur son passage en Moselle et ses souvenirs forts.

Le meilleur souvenir de votre carrière à l’ASPTT Metz (de 1995 à 2002) ?

« C’est dur de choisir. (Elle réfléchit un peu). Je vais dire mon premier titre de champion de France en 1996. Il y en a eu d’autres, arrachés au forceps mais je reste sur cette première idée. C’est le premier, ça fait toujours quelque chose de spécial. »

Votre plus gros regret ?

« Ne pas avoir réussi à intégrer le Top 4 européen. On n’était pas loin mais on a sûrement manqué d’un peu de profondeur de banc. L’effectif n’était pas assez étoffé, je pense. »

La joueuse qui vous a le plus impressionnée durant votre carrière ?

« Sans hésiter Isabelle Wendling. Pour ce qu’elle a apporté au club, l’évolution qu’elle a eu durant sa carrière. C’est remarquable. »

Votre bête noire ?

« Pas facile comme question (rires). Je dirais Véronique Pecqueux-Rolland. Elle nous faisait souvent déjouer. On n’aimait pas jouer contre elle. »
« Bertrand François, un mec humain, sympa »

L’entraîneur qui vous a le plus marquée ?

« Bertrand François. Un mec humain, sympa. On a bien rigolé, bien bossé avec lui. »

La gardienne qui vous a impressionnée ?

« La gardienne tchèque Lenka Cerna. Elle était capable de nous retourner une situation à elle seule. Elle pouvait nous faire gagner des matches rien qu’avec ses prestations. »

Votre plus belle réussite en dehors des terrains ?

« Facile ! Mes deux enfants me rendent heureuse. Ce sont des jumeaux de 9 ans. Un garçon et une fille. Ma plus grande fierté. »

Êtes-vous nostalgique ?

« Non. En terme de philosophie de vie, je me dis que ce qui a été fait est fait. Il faut avancer après sa carrière sportive. Il y a toujours des choses à faire après. J’ai vécu de belles rencontres, une belle carrière avec des titres. Ce n’est pas donné à toutes, j’ai profité de ces moments-là. Ce serait dommage de ne pas profiter de l’après. »

Ce qu’elle pense des Messines

Nodjialem Myaro ne manque évidemment pas une miette de la saison de Metz Handball. En spectatrice assidue, la jeune (42 ans) présidente de la Ligue féminine ne sera pas présente aux Arènes samedi pour encourager les Messines contre Bucarest mais elle sera devant sa télé. « Elles méritent d’être présentes au Final Four à Budapest. Elles réalisent une superbe saison. »

L’ancienne arrière de l’ASPTT Metz et de l’équipe de France note « une gestion de toutes les compétitions extraordinaire. Tout est bien calculé pour arriver au bout. Elles sont encore en lice sur tous les tableaux, c’est fort. Je trouve l’équipe plus complète par rapport aux dernières saisons. Plus rodée. C’est agréable à voir jouer, ça marche fort sur contre-attaque. En défense, c’est très costaud. »

Séquence projection en cas de présence au Final Four : « Tout le gratin européen y sera mais sur un match, tout est possible. Rien n’est interdit. Après, il faudra voir comment le club gère cette première fois, il y aura beaucoup de paramètres qui entreront en jeu. »

Repères

Née le 5 septembre 1976 à N’Djaména (Tchad). Poste : arrière gauche. De 1995 à 2002 : ASPTT Metz.

Palmarès : Médaillée d’or au championnat du monde en 2003, médaillée d’argent au championnat du monde 1999.

Championne de France en 1996, 1997, 1999, 2000 et 2002 avec Metz. Vainqueur de la Coupe de France en 1998 et 1999 avec Metz.

Nicolas KIHL

Metz Handball : les infos de ce mercredi 10 avril
Le point sur la billetterie, le casse-tête de l'organisation et les plus belles images de Bucarest-Metz : voici l'essentiel de ce mercredi 10 avril du côté de Metz Handball.


95% des places déjà vendues !

Il restait à peine plus de 200 places en début de semaine. Les stocks sont quasiment épuisés ce mercredi. 95% des quelques 5000 tickets disponibles ont été vendus. Il y aura plus de 5500 spectateurs aux Arènes samedi soir, dont la ministre des Sports Roxana Maracineanu.

Houette pour le tirage au sort des demi-finales

En cas de qualification pour le Final Four, Metz Handball enverra une délégation à Budapest, mardi 16 avril, pour le tirage au sort des demi-finales. La Fédération européenne demande à chaque club de venir avec une "key player" (joueuse majeure). C'est la championne du monde et d'Europe Manon Houette qui s'y collera. Elle sera accompagnée de Frédéric Kremer, secrétaire général du club, et Sébastien Chevant, responsable de la communication.

Plans de table, cadeaux, sandwichs... Le casse-tête de l'organisation

Thierry Weizman a passé la journée au téléphone, à régler le moindre détail. Le président de Metz Handball est accaparé par l'organisation de "l'événement le plus important" de l'histoire du club. Ce mercredi soir, une réunion était organisée avec les 150 employés et bénévoles impliqués. " Il faut gérer la distribution des tee-shirts, les entrées VIP, le nombre de casse-croûtes à la buvette, le placement des élus en tribune officielle, la présence des ambulances, les cadeaux des arbitres, les trajets de la ministre des Sports... Il faut penser à tout", sourit le dirigeant

beIN Sports s'invite dans les coulisses de Metz Handball

Les caméras de la chaîne payante débarquent en Moselle ce jeudi. Elles passeront une partie de la journée avec les Messines, notamment en séance vidéo, exceptionnellement. beIN Sports prépare un reportage en immersion de 52 minutes qui sera diffusé, si tout se passe bien, avant le Final Four de Budapest, les 11 et 12 mai.

Brest-Metz, meilleure affluence de la saison régulière de Ligue féminine

4175, c'est le nombre de spectateurs à la Brest Arena le 29 décembre dernier pour le choc du championnat opposant Brest à Metz. Il s'agit du record de la phase régulière cette saison. Les Arènes ne figurent pas dans le Top 3 des meilleures affluences : la deuxième revient encore aux Bretonnes, face à Nice (4013), et Paris 92 réussit la troisième grâce à son défi 4000 réalisé face à Saint-Amand (3950).


Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115344]

Hazel18

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Posté le : 12/04/2019 à 09:27 (Lu 22857 fois)
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https://www.google.fr/amp/s/www.francebleu.fr/amp/sports/basket-handball-volley/metz-handball-un-engouement-comme-jamais-1554999563

https://www.republicain-lorrain.fr/sports/2019/04/12/houette-j-ai-l-impression-d-etre-partie-du-bon-cote

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Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115345]

françoise

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rl du 12/04/20019

Metz Handball : contre Bucarest, il ne faudra pas suivre l’exemple Holstebro
un an, malgré la correction subie en quart de finale aller à Bucarest (34-21). Dans une position idéale ce samedi (+5), doivent-elles craindre un retour des Roumaines ? Réponses en statistiques.

Cinq buts, un avantage définitif ? Ces dix dernières années en Ligue des Champions, aucune équipe n’a réussi à effacer un handicap de cinq buts pour sortir vainqueur d’une double confrontation aller-retour. C’est Györ qui a rattrapé le plus gros retard (-4), en 2012, en s’imposant de huit buts en demi-finale retour avant l’apparition du Final Four. Rappelons tout de même que Metz avait failli réaliser l’impossible, la saison passée, en remontant sept buts à Bucarest. Pas suffisant !

Les surprises sont rares…

Retour à domicile, le facteur X ? Les joueuses d’Emmanuel Mayonnade possèdent un autre argument de taille en leur faveur. Elles ont creusé l’écart… à l’extérieur ! Et en marquant beaucoup de buts, en plus. Là aussi, l’histoire devrait les rassurer. Les précédents montrent que les surprises sont surprises, finalement. Depuis 2009, les clubs qui se sont imposés chez leurs adversaires à l’aller se sont toujours qualifiés… à deux exceptions près : Krim, vainqueur à Larvik (+2) en demi-finale de l’édition 2013, s’était effondré à domicile au retour (-8). Dans la finale 2009, Györ était allé gagner de deux buts à Viborg… avant d’en concéder trois en Hongrie quelques jours plus tard.

Holstebro, le précédent. Le cas le plus similaire est finalement plus récent et le plus proche. En finale de la Coupe EHF 2013, les Messines de Sandor Rac pensaient avoir fait l’essentiel en l’emportant de quatre buts à Holstebro à l’aller… avant de craquer aux Arènes au retour (-5).

La. M.

Selfie, maquillage et penaltys

Qui dit soirée d’exception, dit… innovation ! Metz Handball a concocté de nombreuses surprises pour l’avant-match, ce samedi aux Arènes. Rendez-vous dès 18h30 dans le hall d’accueil pour profiter des différentes animations. Les supporters pourront tester la puissance de leur shoot grâce au radar de tir ou se rendre au stand de maquillage pour un total look jaune ultra tendance ! Avant de filer en tribunes, passage obligé à la borne à selfies pour immortaliser cette soirée mémorable.

Happy-Hour sur la buvette

Si le stand de maquillage ou de tir ne vous ont pas convaincu de venir un peu en avance aux Arènes demain, cet argument-là devrait fonctionner : la buvette propose un happy hour sur toutes ses boissons de 18h30 à 19 h.

À vos pronostics !

Avis aux médiums. Metz Handball lance un concours de pronostics. Les supporters sont invités à deviner le score de la rencontre. Un maillot officiel dédicacé par les joueuses est en jeu.

Les Messines en dédicace

À l’issue du match, les Messines viendront exceptionnellement à la rencontre de leur public dans le hall des Arènes pour une séance de dédicaces.

Plus que quelques places en vente

Attention, il n’y en a presque plus. À 16 h ce jeudi, il ne restait que 102 places disponibles à la vente.

)



Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115346]

françoise

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Et aussi

Pourquoi ils aiment tant Metz Handball : les supporters témoignent

Ils seront 5 500 ce samedi aux Arènes. Une incroyable marée jaune. Avant le match événement face à Bucarest samedi, nous donnons la parole aux supporters de Metz Handball. À Gorze, Nice ou Besançon, ils témoignent et répondent à une question simple : pourquoi aimez-vous tant ce club ?

« Parce que ce club croit en la jeunesse »

Parce que Metz est ma ville de c½ur, Que ma famille y vit. Quel bonheur !

Parce que je suis handballeur, Naguère joueur puis formateur.

Parce que je vais encore vibrer, Samedi soir devant la télé.

Parce que résolument le sport féminin, C’est autrement bien et beaucoup plus sain.

Parce que le coach en fin tacticien, Avec respect, toujours, il leur parle en bien.

Parce qu’il y a eu des hauts et des bas. Parce que ces filles-là partagent leur joie.

Parce qu’elles vont ensemble au combat. Parce que je suis fan de Laura (8). »

« Pour y aller avec ma femme »

Dominique Gros, maire de Metz : « J’aime Metz Handball parce que mon épouse adore ce sport, donc on peut y aller ensemble. Et comme je suis souvent séparée d’elle, c’est une vraie satisfaction de ménage ! J’aime aussi l’état d’esprit, cette fraternité, c’est un vrai bonheur de fréquenter le monde des spectateurs des Arènes. J’ai beaucoup d’estime pour les bénévoles qui vont vivre le club depuis très longtemps. Et puis, c’est une tradition messine, le club est incarné par des gens du territoire. En tant que maire de Metz, je suis fier d’avoir une équipe qui domine le sport féminin. Aucune équipe n’a gagné autant de titres que celle-là ! »

« Parce qu’il fait l’admiration de tous »

Michel Hoffmann, de Nice : « On ne peut que s’attacher à ce club, dont la réussite ne doit rien au hasard. Un président amoureux de son club et visionnaire. Un coach sans pareil qui voit juste et plus vite que les autres. Une équipe talentueuse qui respire la joie de vivre et fait l’admiration de tous, y compris de ses adversaires. Si le handball féminin n’a pas encore la place qu’il mérite dans le sport français, tout laisse à penser que sa reconnaissance est proche. Et Metz pourra s’enorgueillir d’avoir largement contribué à le hisser sur le devant de la scène. »
« Parce que c'est une grande famille »

Valérie Seemann : "Les Dragonnes faisaient partie pour moi d'un groupe mosellan de haut niveau dont je suivais les exploits dans la presse. Puis lors de la saison 2017-2018, j'ai franchi le pas et je suis allée les voir jouer "au moins une fois"... J'ai été tellement séduite par le jeu et l'ambiance que j'ai suivi toute la saison avec mon fils et ma fille et je suis maintenant abonnée. Je suis touchée par la simplicité des joueuses et par la proximité qu'elles offrent à leurs supporters. Le club est à leur image, convivial et festif et on a l'impression que c'est une grande famille. J'attends toujours les matchs avec impatience et suis fière d'être supportrice des Dragonnes."

« Pour le plaisir »

Yannick Schneider, de Saint-Julien-lès-Metz : « Supporter de longue date, j’aime Metz handball pour le plaisir qu’il me procure, pour le rayonnement qu’il apporte à la ville de Metz, pour sa volonté d’excellence et sa politique de la gagne. Pour tout cela : longue vie au Metz Handball ! »

« Parce qu'elles nous font rêver »

Karine Moritz, d'Ebersviller : "Tout simplement parce que les Dragonnes sont au top ! Quand je suis aux Arènes de Metz avec mon fils, j'oublie tout. Elles nous font rêver. Leurs titres, leur gentillesse, leur cohésion, leurs sourires, leur ténacité : elles sont un bel exemple pour beaucoup de monde. Ne jamais rien lâcher. Rester sportives, fair-play... Metz Handball, c'est ma bouteille d'oxygène ! J'ai toujours du mal à partir des Arènes après un match...Toujours hâte de les revoir. Toujours avec elles, dans les victoires comme les défaites. C'est une équipe superbe ! Et que dire de Manu Mayonnade..."

« Parce que ça m’a sauvé la vie »
Marie, de Metz : « Au départ, cela n’a rien à voir avec le sport. C’est un hasard. On m’a emmenée voir le dernier match de la saison 2012, contre Arvor. Je me suis prise au jeu, notamment celui de ‘Kiki’Liscevic. Ça a été une bouffée d’oxygène dans un moment difficile, je pourrais presque dire que ça m’a sauvé la vie. Cela fait 7 ans, maintenant, que je cale mon agenda au rythme des matches. »

« Pour Manon Houette »

Quentin Wack, visiblement amoureux de l’ailière gauche.



« Pour les valeurs humaines »

Françoise Zimmerman, supportrice depuis 1990 : « J’aime ce club pour les valeurs qu’il fait passer. On ressent une cohésion de groupe incroyable, une culture de la gagne et une attention sans pareil entre les joueuses, anciennes et nouvelles. Des vertus qui font du bien ! Quand je me rends à un match de Metz, je sais que je vais me ressourcer de valeurs humaines, quel que soit le résultat. »

« Pour l’état d’esprit et l’ambiance familiale »

Dominique Derelle, supporter et bénévole : « J’aime ce club pour son état d’esprit. Metz Handball a su entretenir une ambiance familiale alors qu’il performe au plus haut niveau. Le comité directeur, le staff, l’équipe… Tout le monde est abordable, les filles sont toujours souriantes, elles communiquent. Les supporters sont respectueux. Quand les joueuses résistent aux convoitises des autres clubs, c’est cet état d’esprit messin qui prend le dessus. »



« Parce qu’elles sont inarrêtables »

Ombeline Thevenot, de Metz : « Pour la qualité du jeu messin, pour les pépites qui s’y trouvent. Chaque année, cette équipe prouve qu’elle est capable de toujours plus. Elle apprend de ses échecs, elle travaille dur pour toujours montrer un nouveau visage. J’ai l’impression que ces joueuses sont inarrêtables ! Certaines prennent une autre dimension dans l’équipe et c’est beau à voir. Je suis une fan incontestable de Laura Flippes et de Xenia Smits. Je ne trouve pas les mots justes pour décrire à quel point je suis fière d’être Messine et fière de cette équipe. »

« Parce que c'est magnifique »

Virginie Billa, de Besançon : "J’ai commencé à supporter Metz Handball en 2016 pour suivre les performances de Laura Glauser, après mon coup de c½ur pendant les JO de Rio. J’ai apprécié l’histoire de ce grand club et la physionomie de cette équipe. On voit un vrai groupe soudé, plus qu’une addition individualités et pour moi, c’est un atout fort pour aller au sommet. Leur force de caractère est également un modèle de persévérance. Elles perdent ? Ce n’est pas grave, elles se battront jusqu’à la dernière seconde pour montrer le meilleur d’elles-mêmes. Et ça, c’est magnifique."

« Pour sa simplicité »

Michel Roesler : « J’aime ce club pour sa simplicité. La bonne gestion de son président. Des bénévoles efficaces. Une équipe très ambitieuse. Un entraîneur et son staff qui motivent tout le monde. La bonne ambiance lors des matchs. »

« Parce que cette équipe m'apporte une énergie incroyable  »

Julien Guillaume, de Haute-Vigneulles : "Je suis Metz Handball depuis 2016. C’est une équipe jeune et dynamique qui m’apporte une énergie incroyable à chaque match ! Il y a aussi une ambiance magnifique à chaque rencontre. Joueuses comme supporters, nous sommes unis pour être encore plus fort sur le terrain !"


François Siebert, de Gorze : « Ce club croit en la jeunesse et aux vertus de la formation, il sait faire confiance. Il regroupe les qualités nécessaires à la réussite de tout projet collectif : le groupe avant tout, l’implication de chacun, de fortes compétences individuelles mises au service de l’intérêt général, les finances comme un moyen et non comme une fin, le respect de soi et des autres, la solidarité au c½ur de tout cela… En cas d’échec, le collectif en sort plus fort. C’est un modèle inspirant. »

« Parce que je n’ai plus que 15 ans quand je suis aux Arènes »

Philippe Moeller : « Je ne peux pas imaginer toutes les heures de travail, les sacrifices, les coups reçus et donnés pour donner autant de bonheur aux supporters. J’ai 50 ans et je n’en ai plus que 15 lorsque je suis aux Arènes. Je suis comme un jeune avec des étoiles brillantes plein les yeux. Mesdames, vous méritez un immense respect et une énorme admiration. »

« Parce que c’est ma ville de c½ur »

Stéphane Colombelli, poète à ses heures perdues : « Parce que c’est depuis l’Essonne, Que j’encourage le plus les Dragonnes.

"Pour le sourire des joueuses !"

Dany Dauer, de Varennes-sur-Loire (Maine-et-Loire) : "Affecté à Metz en 2010, je suis me suis rendu, par curiosité, à un match de Metz Handball. J'y ai découvert ce sport et cette équipe. J'y suis retourné de façon régulière, je me suis ensuite abonné et je m'organise désormais des week-ends touristiques autour des matchs des Dragonnes, en France (Besançon, Dijon, Brest, Paris, Nantes...) et à l'étranger (Allemagne, Hongrie...). J'ai quitté la Lorraine pour raison professionnelle en 2017... mais j'ai gardé mon abonnement. Demeurant désormais à environ 600 kilomètres, je suppose être l'abonné le plus lointain ! Donc, j'aime Metz Handball pour l'esprit d'équipe, la combativité des joueuses... et leurs sourires. Ce sport pour le flair-play sur le terrain et en tribune."

La. M.

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115348]

Hazel18

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https://www.republicain-lorrain.fr/sports/2019/04/12/emmanuel-mayonnade-(metz-handball)-bucarest-reste-une-equipe-dangereuse

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Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115353]

beillitse

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Re: Revue de Presse 2016 - 2018

beillitse

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Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115355]

FABRE 83000

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https://www.telekomsport.ro/video-planul-csm-ului-pentru-returul-cu-metz-e-cel-mai-important-moment-al-sezonului-partida-e-sambata-ora-21-30-pe-telekom-sport-4-18973548


https://www.prosport.ro/alte-sporturi/handbal/ultima-sansa-echipei-csm-bucuresti-atinge-obiectivul-liga-campionilor-juca-intr-decor-galben-slogan-pregatit-metz-returul-tigroaicele-gazdele-obtin-venituri-substantiale-dupa-acest-meci-18072027

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115356]

françoise

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Dans le sujet de telekomsport ne pas manquer également l’interview de Crina Pintea

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115359]

françoise

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françoise

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rl du 13/04/2019

Thierry Weizman (Metz Handball) : « J’espère que mon c½ur va tenir »
L’hyper président de Metz Handball n’aurait jamais osé rêver d’un Final Four. Avant le match événement face à Bucarest ce samedi, Thierry Weizman se confie longuement. « Je ne pensais pas que ce club impacterait autant mon destin », explique-t-il.

Dans vos projections les plus folles, aviez-vous imaginé vous retrouver, un jour, aux portes du Final Four ?

« Jamais ! Ça fait vraiment partie des rêves. Il y a quelques années, je regardais cela de loin à la télé, en pensant que je ne connaîtrais jamais ça de ma vie. Et je pensais que le handball féminin français ne le connaîtrait jamais. On était à des années-lumière de cela. »
Êtes-vous en train de vivre votre plus beau moment de président ?

« Si on gagne, ce sera assurément le plus beau. Ce serait une joie incroyable, j’espère que le c½ur tiendra. Et si on perd, ce sera le pire. Quand vous vous approchez comme ça du paradis et que vous vous retrouvez en enfer… Ce serait un drame pour moi. Je sais ce que ça coûte comme énergie d’arriver là. Je sais aussi la complexité financière pour arriver à financer tous les déplacements. C’est un stress, des nuits agitées. Je ne sais pas si j’aurais le courage et la force de recommencer tout ça. »

Avant un match comme celui-ci, les souvenirs de 2013, face à Holstebro, remontent-ils à la surface ?

« Moi j’y pense, bien sûr (vainqueur de 4 buts au match aller, Metz s’était effondré une semaine plus tard, à domicile, en finale de la Coupe EHF). Mais je me dis que ce n’est pas possible. Parce que ce n’est pas le même groupe, pas le même entraîneur. Ces joueuses-là ont un vécu, les finales jouées à l’Euro, au Mondial et aux JO vont apporter de la sérénité aux internationales françaises de l’équipe. Je compte beaucoup sur cela pour ne pas répéter le scénario Holstebro. »

Jouer un Final Four, ce serait l’aboutissement ultime ?

« Oui, l’aboutissement de 15 ans de travail pour moi. Mais je pense à ceux qui ½uvrent depuis 30 ans, ceux qui ont posé les fondations, à Olivier Krumbholz qui a rendu cette équipe professionnelle. Je pense aussi au travail des joueuses et aux larmes que j’ai vues à chaque fois que ça s’est mal passé. »

Qu’aimez-vous par-dessus tout dans cette équipe-là ?

« Les relations humaines que j’ai avec Manu et son staff. Et avec les joueuses aussi. Elles savent à quel point je les aime, parce que je les aime par-dessus tout, vraiment. Et je sens qu’elles me le rendent bien. J’adore vraiment ce groupe ! »



Quel regard portez-vous sur le jeune président que vous étiez, il y a 14 ans ?

« Quand on m’a demandé de prendre la présidence, en 2005, on m’a fait avaler que c’était juste pour huit jours. Pour signer les papiers et mettre le club en liquidation judiciaire. Et puis, c’est devenu un formidable challenge. Il a fallu que j’apprenne à regarder un bilan, à négocier des salaires, à parler en public. Je tremblais, je ne savais pas comment faire, j’avais des notes partout. Je demandais à tous les potes, tous les patients de mon cabinet de faire un geste pour Metz Handball… »

Ça a bouleversé votre vie ?

« Complètement. C’est fou, ce qu’il m’arrive. C’est une aventure humaine avant tout et je me demande où ça va s’arrêter. Je ne pensais jamais que ça impacterait autant mon destin. »

Vous n’êtes jamais fatigué ?

« Je ne suis pas fatigué parce que je suis passionné. Mais je sais que ma vie en a pris un coup. Le plus dur moi, ce sont les matches soi-disant faciles à l’extérieur. Quand ça tourne mal et que je ne vois pas ce qu’il se passe, je deviens fou, j’ai des palpitations. J’ai peur de la contre-performance. Et j’ai peur de rechuter financièrement, parce que tout va très vite. Cette activité est complètement irrationnelle. Au final, je tremble tout le temps. Alors oui, c’est fatigant. J’ai perdu quelques années de ma vie, c’est sûr… »

Avez-vous pensé que ce Final Four pourrait être la plus belle des sorties ?

« J’y ai pensé, oui. J’y avais déjà songé qu’on a joué la finale de la Coupe EHF. Ça fait 15 maintenant, j’ai peut-être droit à un repos mérité. C’est usant, j’ai aussi à certains moments d’autres envies, mais pour l’instant, je prends toujours autant de plaisir. Gagnons la Ligue des Champions et ce sera plus facile de prendre une décision ! »

« Je ne laisserai jamais tomber ce club »

« Le chemin a été incroyable. » L’aveu sonne presque comme un adieu. « Sortir par la grande porte », l’année d’un Final Four historique, Thierry Weizman y a pensé, forcément. Après 14 années de présidence, il se dit parfois que « c’est le bon moment ».
Le médecin a « d’autres envies ». La politique ? Il ne le dit pas (encore) mais les élections municipales de 2020 pourraient marquer un tournant. La Ville de Longeville-lès-Metz devrait être son nouveau défi. Alors, qui pour succéder à Thierry Weizman, l’homme qui incarne la pérennité de Metz Handball au plus haut niveau ? « Il n’y a pas de successeur naturel, personne ne s’est manifesté », reconnaît l’hyper président. « Moi, je touche à tout, je regarde tout, parce que j’ai les jetons. Je sais qu’on est toujours à flux tendu. On ne roule pas sur l’or. Avec le temps, il faudra forcément une autre forme d’organisation. » Un président professionnel ou un directeur général, pour que le club continue de grandir. Une chose est sûre : « Le suivant aura à me supporter. Je serai présent, et pas qu’un petit peu. Je ne laisserai jamais tomber ce club. »


2005-2019 : « Ce n'est plus le même club »

« Quand j'ai repris Metz Handball en 2005, ce n’était pas le même club… On avait 1,4 million de budget, contre 2,8 aujourd’hui. Une dizaine de partenaires, il y en a 170 désormais. On travaillait à 2-3 personnes seulement. On ne peut pas comparer. Et sur le plan européen, Metz n’existait pas. Quand j’allais au tirage au sort des Coupes d’Europe, les présidents sautaient de joie quand ils tombaient sur Metz Handball.
"On était le petit poucet, on prenait 15 pions à l'aller et au retour"

« Je leur demandais pourquoi ils étaient contents et on me répondait : « Vous n’êtes pas loin de Paris, on va pouvoir aller visiter. Contre vous, on est déjà assuré des 4 points de la victoire. Et puis comme vous êtes en jupe, même si vous n’êtes pas une bonne équipe, au moins, il y a des gens qui viendront vous voir jouer ! » Je me rappelle très bien de cela, à Vienne ou Podgorica. On était le petit poucet, on prenait 15 pions à l’aller et au retour. En 14 ans, le statut a complément changé. J’arrive à garder des joueuses avec un salaire moindre qu’ailleurs, je vois les grimaces des collègues quand ils tombent sur nous, j’entends ce qu’il se dit un peu partout, que Metz est l’équipe qui pourrait barrer la route à Györ. On a une considération incroyable par rapport à avant. Et puis, on a créé un centre de formation. On a franchi encore un cap avec Manu qui a rajouté une couche de professionnalisme, comme on ne l’avait jamais connu. On en est là aujourd’hui grâce à cette exigence. »

Laura MAURICE

Metz Handball debout face à ses rêves
Les Messines peuvent se qualifier pour un Final Four historique, ce samedi soir (20 h) devant les 5 500 spectateurs des Arènes. Face à Bucarest, battu de 5 buts en quart de finale aller, rien ne semble pouvoir les arrêter…
Plus que jamais, il faudra ouvrir l’½il. Capter ces regards mouillés, apprécier les sourires, deviner la fierté et l’émotion qui transpirent de chaque étreinte. Il faudra se nourrir de ces petits riens qui font les grands soirs.

Tout ira tellement vite et demain, ce sera déjà l’Histoire. Demain, Metz sera peut-être au Final Four de la Ligue des Champions. Qui aurait osé l’imaginer ? « Il y a dix ans, je n’y pensais pas du tout. Il y a cinq ans, j’en rêvais. Il y a deux ans, j’en ai fait un objectif », se souvient l’entraîneur, Emmanuel Mayonnade
« Le Final Four c’est l’objectif d’une vie »

Pour se retrouver là, à l’aube d’un soir magique, pour prétendre écrire la plus belle page du handball féminin français en club, ce collectif a dû sécher ses larmes et prendre le temps de grandir. « On veut toujours faire mieux, on ne cesse de se remettre en question, de dépasser nos limites. Avec cette énergie-là, on peut franchir tous les caps, les uns après les autres », sourit Laura Glauser.

Il y a un an, face à Bucarest déjà, les Messines avaient été « grandes et superbes ». Héroïques, même, lorsqu’elles ont tenté de réaliser l’impossible. Aujourd’hui, elles auront juste besoin d’être elles-mêmes, confiantes et séduisantes. Bucarest (battu 26-31 à l’aller ) a déjà un genou à terre.

« On se sent fortes. J’y crois vraiment », souffle Orlane Kanor. « Je crois qu’on a toutes les clés. Je nous fais confiance », confirme Marion Maubon. « On n’a pas fait un match parfait en Roumanie mais on a su les mettre sous pression, les titiller. On a trouvé ce qui leur faisait mal. »

Bien sûr, il faudra y mettre la même exigence, la même intensité. Ne pas déjouer, ne pas trembler. « Il faudra jouer avec notre tête, simplement, comme on le fait depuis longtemps », résume Emmanuel Mayonnade.

Ensuite, si toutes les planètes s’alignent, il sera temps alors de savourer, de se laisser porter par l’atmosphère unique d’un soir d’Histoire. « Le Final Four, c’est l’objectif d’une vie… Je ne mesure pas encore la portée de tout cela, je réaliserai peut-être quand ce sera fini », imagine Orlane Kanor.

L’arrière gauche, 22 ans dans deux mois, est l’une des plus belles raisons de penser que Metz y arrivera. Alors, ouvrez l’½il. Ce soir est un grand soir !

Quarts de finale retour : le programme

Les équipes

METZ. Gardiennes de but : Glauser, Kapitanovic, Dos Reis. Joueuses de champ : Edwige, Zaadi, Flippes, N’Gouan, Nocandy, Houette, Levsha, Kanor, Zych, Smits, Maubon, Niombla, Gautschi. Entraîneur : Emmanuel Mayonnade.

BUCAREST. Gardiennes de but : Grubisic, Ungureanu, Ion. Joueuses de champ : Udristoiu, Radicevic, Curea, Lekic, Jacobsen, Bazaliu, Lazovic, Omoregie, Marin, Constantinescu, Manea, Hagman, Mehmedovic. Entraîneur : Dragan Djukic.

Metz Handball : trois raisons de se méfier de Bucarest

Parfaitement lancé vers le Final Four, Metz peut-il tout perdre ce samedi ? Voici trois raisons de se méfier.

1. La pression. C’est elle qui pourrait faire déjouer les Messines et entamer leur confiance. « Notre capacité à maitriser l’événement sera déterminante », prévient Emmanuel Mayonnade. Dans ce contexte, l’expérience des internationales françaises, habituées des grandes finales, sera précieuse.
2. La révolte roumaine. Bucarest s’était fait peur l’an passé aux Arènes. Les Roumaines avaient subi de plein fouet l’incroyable détermination d’une équipe dos au mur. Les rôles seront inversés ce samedi… « On ne doit pas se laisser piéger. Il faudra contrôler le match dès le début, imposer notre rythme », décrypte Orlane Kanor.

3. Lekic et Radicevic. La première est une incroyable meneuse de jeu, meilleure joueuse du monde en 2013, la deuxième est sans doute ce qu’il se fait de mieux au poste d’ailière. Victorieuses de la Ligue des Champions il y a six ans, Andrea Lekic et Jovanka Radicevic – 19 buts à l’aller – peuvent changer le cours d’un match à elles seules.

La. M.

Metz Handball, le plus grand bonheur : notre billet du jour

Ça y est, place au grand soir ! Attendu par tout un club, une ville. Ce 13 avril 2019 peut faire entrer Metz dans l’histoire. Tout est réuni pour que cette soirée soit une fête mémorable aux Arènes. Pour que Metz s’offre son premier Final Four et devienne le seul club du handball féminin français à y figurer. La déception de l’an passé contre ce même Bucarest est effacée. Les joueuses d’Emmanuel Mayonnade ont appris, grandi, se sont soudées et renforcées autour de cette quête sublime. Les voilà proches de leur plus grand bonheur. Ce soir, il est question d’« écrire l’histoire ensemble ». Mesdames, il vous reste soixante minutes d’efforts pour que le slogan choisi pour cet événement hors du commun soit le bon. Pour que vos rêves deviennent enfin réalité.

Nicolas KIHL



Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115389]

beillitse

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Posté le : 14/04/2019 à 01:09 (Lu 22220 fois)
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Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115400]

françoise

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françoise

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Posté le : 14/04/2019 à 10:01 (Lu 22113 fois)
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rl du 14/04/2019

Metz Handball s’ouvre les portes du paradis !
Elles l’ont fait ! Les Messines se sont qualifiées pour le Final Four, samedi devant 5000 spectateurs aux Arènes. Bucarest, qui accusait un retard de cinq buts avant ce match retour, n’a pas tenu la distance (23-22). Metz entre dans l’histoire en devenant le premier club français féminin à se hisser à ce niveau.

Cette fois, elles peuvent s’adonner à leur fameuse ronde de la victoire, se serrer fort dans les bras, sourire, pleurer, hurler. Communier avec leurs Arènes par un clapping géant dans ce moment de grâce. Les Messines ne sont pas passées à côté de leur grand soir et peuvent profiter de l’instant. Elles ont mille fois raison après le cauchemar vécu il y a un an de cela contre ce même Bucarest.

Les voilà enfin au paradis, récompensées de tous leurs efforts. Le Final Four de Budapest (les 11 et 12 mai) les attend maintenant les bras ouverts et, avec lui, l’idée que tout sera possible en Hongrie.

« J’ai du mal à y croire »

Les c½urs des Mosellanes et de toute une salle ont tenu bon pendant soixante minutes d’une intensité folle. Les cinq buts d’avance (victoire 31-26) ramenés de Roumanie lors du match aller n’étaient pas de trop. Bucarest a appuyé sur l’accélérateur pour rattraper son retard et profité de la tension qui se sentait dans les bras des Mosellanes (0-2, 3e puis 6-7, 15e ). C’est simple : il fallait patienter vingt-deux bonnes minutes pour voir les joueuses d’Emmanuel Mayonnade prendre les devants (8-7). Les Arènes pouvaient un peu respirer et Metz commencer à exprimer son talent. Avec Ivana Kapitanovic capitale dans ses buts, Méline Nocandy pleine de culot et des cadres respirant la sérénité. Une attitude guerrière en défense, des contre-attaques menées à la vitesse de l’éclair (9-7, 23e puis 10-8, 28e ) : Metz commençait à faire mal aux Roumaines de Dragan Djukic. La suite ? Une voie royale habilement gérée vers le rêve ultime de tout un club (15-11, 37e , 17-14, 46e ).

Toutes les Arènes avaient bien compris que le ticket était bien dans la poche à deux minutes du coup de sifflet final et se levaient pour commencer la fête. « J’ai du mal à y croire, j’ai du mal à y croire », lâchait le président Thierry Weizman, les larmes aux yeux. « A chaque fois, on se rapprochait petit à petit de notre but. C’est si dur de se qualifier pour un Final Four. Aujourd’hui, on y est ! C’est génial, je suis si contente », souriait la capitaine Grace Zaadi.

Les Messines ont écrit une page de l’histoire du handball français, hier. En mai, à Budapest, elles auront l’occasion d’en écrire une nouvelle. A l’échelle continentale, cette fois.

Nicolas KIHL

« Si on gagne le trophée, je peux arrêter de jouer au handball… »
Seule Messine à avoir déjà disputé un Final Four, Gnonsiane Niombla l’assure, les Messines peuvent faire un coup à Budapest : « Avec les caractères qu’on a dans cette équipe, je doute qu’on aille là-bas juste pour jouer et visiter. »

Gnonsiane, vous y êtes, vous allez au Final Four ! Cela fait quoi ?

« C’est plaisant de se qualifier avec cette équipe parce qu’on joue vraiment bien au handball ! On s’est battu pour cette place dans le dernier carré. »

Vous avez encore dégagé beaucoup de sérénité ce samedi soir…

« Vous vous sentez peut-être sereins en tribunes mais moi pas ( rires ) ! Bien sûr, on ne panique pas, ça ne se voit pas sur nos visages, nos actions. Mais c’est compliqué de regarder le score, de calculer, d’avoir peur de bégayer. On se repose sur le collectif, c’est vraiment une victoire d’équipe. Ce qui est bien, c’est que ça vient de tous les côtés à Metz. Cette semaine, à l’entraînement, on n’a même pas parlé des cinq buts d’avance, on voulait gagner à la maison, c’était important pour nous. »
« Je rêve de réussir LE coup »

Vous êtes la seule Messine à avoir déjà disputé un Final Four. Dans quel état d’esprit y allez-vous ? Il n’y a plus de limites, désormais ?

« Dans un Final Four, tout peut vite basculer. Tu peux faire le coup sur un match, un samedi à 18h, contre une belle équipe, et remettre la même sauce le lendemain. Avec les caractères qu’on a dans cette équipe, je doute qu’on aille là-bas juste pour jouer et visiter Budapest. La formule est géniale, ça se joue en deux heures ! Et moi je rêve de réussir LE coup. »

L’excitation est-elle la même, aujourd’hui, que pour la première fois ?

« On peut aller vingt fois au Final Four, ce sera à chaque fois la même excitation. Personnellement, je n’ai jamais remporté la Ligue des Champions. Si à la fin de la saison, on gagne ce trophée, je pense que je pourrais m’arrêter de jouer au handball, clairement. C’est un objectif incroyable. C’est juste un truc de fou d’aller là-bas et c’est dingue de le vivre avec ces petites jeunes, qui se battent et jouent si bien. Je pense vraiment qu’on peut surprendre nos adversaires ! »

Vous êtes championne du monde et d’Europe. Cette joie-là est encore différente de ce que vous avez connu avec l’équipe de France ?

« Oui, c’est différent. Avec les Bleues, c’est une courte période. Là, en club, tu cravaches toute l’année, tu es matin, midi et soir à la salle, c’est beaucoup plus prenant. C’est une autre dimension. »

Laura MAURICE

La ministre des Sports s’est régalée
« Je suis allée à Bucarest la semaine dernière, ils m’ont demandé qui j’allais soutenir. J’ai surtout dit que je serai là pour le match parce qu’on a une équipe de Metz qui brille au plus haut niveau européen et on a envie qu’elle réussisse. » La ministre des Sports Roxana Maracineanu était présente ce samedi soir aux Arènes. Elle s’est régalée.

En force au Final Four !

Metz Handball espère emmener du monde au Final Four à Budapest. Un déplacement des supporters est prévu les 11 et 12 mai, week-end de la compétition

« Il paraît qu’on est qualifié… Moi, j’ai encore du mal à y croire »

Astride N’Gouan, pivot de Metz : « C’est que du bonheur, c’est une première, ce sont des matches à enjeu. C’est peut-être quelque chose que je ne connaîtrai plus jamais. C’est vraiment quelque chose à vivre. On ne se projetait absolument, on prenait les matches les uns après les autres et se dire que là, ça y est, on va jouer ce Final Four, on peut enfin réaliser. Toute l’année, on travaille énormément pour ça. Cette place, on ne l’a pas volée. »

Xenia Smits, arrière gauche de Metz : « Je ne réalise pas, les filles de l’équipe de France sont habituées à de grands événements comme ceux-là mais moi, pas du tout avec l’Allemagne ! Je ne comprends pas tout encore, je vais dormir un peu et on verra demain. J’aime tout dans cette équipe, d’avoir mes copines à côté de moi. On est une équipe de 16 et on ne peut pas enlever une petite pièce, c’est comme un puzzle. »
Thierry Weizman, président de Metz : « Il paraît qu’on est qualifié. Moi, j’ai encore du mal à y croire. C’est compliqué quand on attend trente ans après quelque chose comme ça Et je m’étais tellement interdit de me réjouir avant. Il y avait une heure à jouer. On prend moins deux d’entrée de jeu, tout pouvait basculer sur un coup de dés. Je vais mettre quelques jours à réaliser parce que c’est vraiment incroyable. On est la première équipe française à aller au Final Four ! »

Olivier Krumbholz, sélectionneur de l’équipe de France : « C’est un très beau résultat, dans la logique de toute la saison. Les Messines ont bien assuré le coup en Roumanie à l’aller, j’ai trouvé Bucarest beaucoup plus entreprenant ici, avec un meilleur jeu et des performances individuelles nettement rehaussées. Mais sur un match retour, il y a tellement d’enjeu, il faut assurer. C’est bien qu’elles aient gagné, on a vu de belles performances individuelles, avec les jeunes notamment. Méline et Orlane ont fait des choses exceptionnelles par moments. Quand on est en demi-finales, le risque est de perdre les matches et de finir quatrième, c’est toujours terrible. La logique, à mon avis, serait d’avoir une finale Györ-Metz ! »

Méline Nocandy : la sérénité incarnée

Ivana Kapitanovic : 8/10

C’était un choix osé de la part du staff messin. Préférée à Laura Glauser (brillante en Roumanie à l’aller), la gardienne croate a joué toute la partie et a brillé (17 arrêts) ! « On a pris la décision en faisant un point avant match pour savoir quelle gardienne débuterait », avoue le coach Emmanuel Mayonnade. « On a eu des discussions de dingue par rapport à ce choix. On est parti sur Ivana. Elle a pris le dessus sur les ailières dans les moments importants, quand ça chauffait. » Choix payant.

Méline Nocandy : 9/10
Elle n’a eu pas froid aux yeux ! Méline Nocandy a brillamment marqué ses penaltys en début de match. Hyper important pour le déroulement du match. Et pris ses responsabilités au bon moment. La petite demi-centre de 21 ans finit même meilleure marqueuse de son équipe (6/8). Son coach a apprécié : « Elle a mis ses penaltys dans les moments chauds. Méline, c’est un amour, une fille disciplinée, consciencieuse, qui travaille dur et qui est récompensée. Elle a été superbe. Elle a eu beaucoup de sang-froid sur ses jets de sept mètres, on en avait besoin. »

Orlane Kanor : 8/10

Son jump est toujours aussi explosif, impressionnant. Ses montées de balle toujours aussi rapides, son agressivité en défense toujours solide. Orlane Kanor est partout. « Elle a sorti un gros match ce soir », apprécie sa partenaire Grace Zaadi.

Le collectif : 9/10

Parce que ce sport se joue à sept et plus. Et qu’à Metz Handball, tout le monde répond présent. Les rotations ont permis de faire mal à Bucarest. Des cadres, aux jeunes du centre de formation, tout le monde a participé à cette belle fête hier soir.

N. K.

« Elles peuvent être championnes d’Europe »



« Elles peuvent être championnes d’Europe »

Jacky Bettenfeld, vice-président de la Fédération française de handball : « C’est historique pour le handball français, messin, et pour les femmes ! C’est vraiment une performance sportive. Le Final Four, c’est une autre compétition. Tout est possible. Je pense qu’elles peuvent être championnes d’Europe. Quand on connaît l’histoire de ce club, savoir qu’il est dans une phase extraordinaire, c’est vraiment beaucoup de fierté. Et le sentiment que le travail paie, car Metz n’a pas d’énormes moyens financiers, mais il se qualifie avec l’art et la manière ! Je suis très fier des joueuses et du staff, qui n’ont pas ménagé leurs efforts. Ils ont préparé ce match avec grand soin. Il y a une unité autour du club, avec Thierry ( Weizman ), la cheville ouvrière et tous ceux qui sont derrière, qui se donnent corps et âme pour Metz. Il y a le choix de Manu ( Mayonnade ), qui est déterminant. C’est quelqu’un d’exceptionnel, dans la qualité sportive et humaine. Il a un groupe très uni derrière lui, il y a des joueuses qui veulent rester au club car c’est lui l’entraîneur. Il a une grande compétence, une grande exigence. Il est une grande part de cette réussite. Et je n’oublie pas les joueuses. Sur le terrain, on voit qu’elles s’aiment. Félicitations à tout le monde. »


Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115444]

françoise

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françoise

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Posté le : 15/04/2019 à 08:26 (Lu 23873 fois)
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rl du 15/04/2019

Emmanuel Mayonnade (Metz Handball) : « On peut aller loin avec des filles comme ça »
L’entraîneur de Metz Handball a atteint l’un de ses plus beaux objectifs, samedi en décrochant une qualification pour le Final Four de la Ligue des Champions, les 11 et 12 mai à Budapest. « On veut aller plus loin encore », annonce Emmanuel Mayonnade.
On vous a vu particulièrement ému, samedi, après la qualification…

« Oui, je suis content. L’année dernière, on se prend une claque en quart de finale contre Bucarest. Et on se dit : OK, il faut tout faire pour y retourner. Sauf qu’à ce moment-là, tu es un peu abattu et il reste tous les play-off du championnat, six matches pour être champion. Puis, il faut faire un bon premier tour, et tenir encore six matches derrière. C’est tellement dur, déjà, d’arriver en quarts… Là, ça y est, on passe. Je pense qu’on a fait les deux matches qu’il fallait, face à une belle équipe de Bucarest. C’est très, très dur mais je suis content. »

Vous êtes soulagé ?

« Oui, vraiment. Quand il a été question pour moi de prolonger à Metz, je me suis beaucoup demandé comment ça allait se passer si on ne rejoignait pas le Final Four. Est-ce que j’aurais eu la capacité à relancer tout le monde ? C’est dur, quand on prend 13 buts dans la gueule à Bucarest et qu’il faut assurer un débriefing d’après-match… C’est fatigant. »
« Un putain de bel aboutissement »

Ce Final Four est-il un aboutissement ?

« C’est triste à dire parce qu’il n’y a pas de titre au bout mais oui, c’est un putain de bel aboutissement pour moi. Il y a dix ans, je me disais : ça doit être incroyable de jouer la Ligue des Champions ! Il y a trois ans, je me suis mis à rêver. Et voilà, on y est. On va repousser encore un peu les limites et rehausser notre niveau d’exigence. »

Maintenant, tout est possible ?

« On aura deux matches à jouer en deux jours. Et on a du monde, nous. On peut faire un truc sympa ! Les postes sont presque tous doublés. Il n’y a qu’à voir la fin de match d’Orlane (Kanor) samedi. Elle est juste stratosphérique ! On peut aller loin avec des filles comme ça. »

Que pensez-vous du plateau du Final Four ?

« Il y a quatre belles équipes. Kristiansand, c’est vraiment très, très bon ! Rostov a retrouvé Vyakhireva. Et puis, Györ… Si on veut aller au bout, il faudra certainement jouer Györ, alors en demi-finale ou en finale, peu importe. »

Quel a été votre discours dans le vestiaire samedi soir ?

« Il y a deux ans, quand on a joué Györ en quart, je me suis dit que si on passait le quart de finale, on pouvait aller au bout d’un Final Four. J’en étais persuadé aussi l’année dernière. Sauf qu’il faut se qualifier pour prétendre à rêver. J’ai dit aux filles : là, ça y est, on l’a fait. Et je pense que ce n’est pas impossible. On peut se permettre de rêver. Peut-être qu’on prendra dix buts en demi-finales et c’est comme ça, on aura déjà réalisé un truc sympa. Mais nous, on y va pour aller plus loin encore. »

Pour l'histoire

Que faut-il garder de ce 13 avril 2018 ? Quelles images, quels souvenirs ancrer dans sa mémoire ? Metz a marqué l’histoire du sport, samedi. C’est ce que l’on retiendra dans deux ans, dans dix ans. Mais comment oublier la paralysie du président Weizman, seul sur le banc de touche, les yeux dans le vague, ému aux larmes ? Et le regard, poignant, de son entraîneur ? Il faudra faire une place aussi, dans les têtes, pour ce grand bonheur, ces étreintes à n’en plus finir, cette émotion dévorante. Pour la jeunesse magnifique d’Orlane Kanor et Méline Nocandy, pour les promesses qu’elles portent. Il faudra surtout s’accrocher à la « fierté », immense, de ceux qui ont connu Metz Handball à travers les années, ceux qui n’ont rien oublié des tourments passés. Et se remémorer « l’amour » qui transpire de ce collectif irrésistible. « Quand elles jouent, on voit qu’elles s’aiment », résumait Jacky Bettenfeld, futur patron du handball français. Dans deux ans, dans dix ans, on en parlera encore.

Laura MAURICE

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115462]

FrancisB

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Posté le : 15/04/2019 à 18:05 (Lu 23738 fois)
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Même le quotidien Libération publie un article sur Metz Handball !
https://www.liberation.fr/sports/2019/04/14/ligue-des-champions-les-handballeuses-de-metz-pour-la-premiere-fois-au-final-four_1721254
Ligue des champions : les handballeuses de Metz pour la première fois au Final Four
Par AFP — 14 avril 2019 à 11:21
Metz s’est qualifié pour la première fois pour le Final Four de la Ligue des champions en éliminant Bucarest, 23 à 22, samedi aux Arènes, une performance inédite pour le handball féminin français.

Les Messines ont confirmé le large avantage acquis au match aller (31-26) et viseront le titre de championnes d’Europe des clubs les 11 et 12 mai à Budapest, contre les Hongroises de Györ, les Russes de Rostov et les Norvégiennes de Kristiansand.

Eviter les Hongroises

Au tirage au sort, mardi, les «Dragonnes» espèrent éviter Györ, le club de la gardienne des Bleus (et ancienne Messine) Amandine Leynaud, qui est le double tenant du titre et jouera presque à domicile.

Cette qualification est une étape majeure dans la progression du club 22 fois champion de France (dont les trois dernières années), qui restait sur deux échecs en quarts de finale, et aussi dans celle du handball féminin français.

La France est devenue championne du monde en 2017 puis d’Europe en 2018 avec, pour ce dernier trophée, pas moins de huit Messines, Grâce Zaadi, Béatrice Edwige, Manon Houette, Orlane Kanor, Gnonsiane Niombla, Astride N’Gouan, Laura Flippes et la gardienne Laura Glauser. Mais elle restait en retrait au niveau des clubs, un peu comme chez les hommes jusqu’à la percée du Paris SG et au renouveau de Montpellier, vainqueur de la Ligue des champions l’an passé.
«Les Françaises réussissent tout»

«Les handballeuses françaises réussissent à peu près tout en ce moment. Metz profite de la réussite de l’équipe de France et vice versa», a commenté le sélectionneur nationale Olivier Krumbholz, un Messin, mais qui n’entraîne plus le club depuis longtemps.

C’est Emmanuel Mayonnade qui est en charge, et, en trois ans, ce jeune coach de 35 ans s’est construit une très solide réputation, à tel point que les Pays-Bas viennent de l’embaucher à la tête de leur sélection (il restera aussi au club pendant au moins un an).

Dans des Arènes archi combles et tout en jaune, où elles n’ont pas perdu en Ligue des champions depuis plus de deux ans, les Messines n’ont souffert que pendant une vingtaine de minutes (deux buts de retard au maximum). Sans leur star, la Roumaine Cristina Neagu, blessée à un genou lors de l’Euro en France en décembre, les joueuses de Bucarest n’étaient pas de taille à leur résister.

Déjà en tête à la pause (11-9), elles ont maîtrisé la situation au retour des vestiaires grâce à la jeune Méline Nocandy (6 buts) et à Laura Flippes (5 buts). «C’est beaucoup de travail, d’engagement au quotidien de la part de ce groupe. Le match n’a pas été extraordinaire, ça a été un peu poussif au début, mais on ne s’est pas affolé. Je pense qu’on est à notre place», a estimé Mayonnade.


Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115463]

Roland

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Posté le : 15/04/2019 à 19:26 (Lu 23672 fois)
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Citation : FrancisB


«Les handballeuses françaises réussissent à peu près tout en ce moment. Metz profite de la réussite de l’équipe de France et vice versa», a commenté le sélectionneur nationale Olivier Krumbholz, un Messin, mais qui n’entraîne plus le club depuis longtemps.


"et vice versa".
Je crois quand même que c'est plus l'équipe de France qui a profité du jeu de l'équipe messine et de son fonctionnement que l'inverse.

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115466]

nachadel

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Posté le : 15/04/2019 à 20:54 (Lu 23626 fois)
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roland c'est ce que je pense aussi, l'equipe de france c'est le mhb

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