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Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115879]

beillitse

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Posté le : 29/04/2019 à 00:46 (Lu 25282 fois)
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Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115886]

françoise

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françoise

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Posté le : 29/04/2019 à 09:28 (Lu 25206 fois)
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rl du 29/04/2019

Metz Handball : comme un avant-goût de Final Four !
À deux semaines de leur grand rendez-vous européen à Budapest, les Messines ont été bousculées à Nantes. Ça ne les a pas empêchées de remporter (28-24) cette demi-finale aller du championnat, marquée par un rude combat physique. Comme c’est souvent le cas en Ligue des Champions.
Des coups. Beaucoup de coups. Peut-être pas autant qu’à Bucarest ou Pogdorica, temples du combat, mais pas loin. Les Nantaises n’ont pas ménagé les Messines, dimanche en demi-finale aller de Ligue féminine. Les championnes de France s’en sont sorties avec un avantage précieux (28-24) avant le retour aux Arènes vendredi, mais aussi quelques bleus.

« C’était accroché, âpre et certainement pas très plaisant à voir », confirme l’arrière lorraine Gnonsiane Niombla. «On ne s’est pas trop fait plaisir et on a été en échec sur beaucoup de choses. Techniquement et tactiquement, nous n’étions pas à notre aise. »

Un chiffre le résume à merveille : 17, comme le nombre de balles perdues par les joueuses d’Emmanuel Mayonnade. Soit seulement une de moins que lors de la toute petite sortie contre Toulon mercredi en quarts (24-21). « Ce n’est pas acceptable si on veut courir et mettre du rythme », peste l’entraîneur messin, remonté après la prestation inégale de ses joueuses. « Je suis déçu qu’on n’ait pas trouvé les réponses adéquates à certains moments. »
« Chacune fait sa petite erreur et ça s’accumule »

Son équipe a en réalité alterné l’excellent et le médiocre. Dans deux périodes quasiment similaires, avec des départs canons (1-4, 7e puis 15-20, 41e ) matérialisés par une défense de fer et des contre-attaques ravageuses. Mais a aussi connu deux gros passages à vide ensuite. À chaque fois, les Nantaises sont revenues dans la partie en profitant d’errements inhabituels. Enfin, pas si nouveau...

« Ça fait un petit mois que je trouve qu’on manque de régularité », avoue le technicien. « On est capable de proposer 5-10 minutes de qualité puis on retombe dans des travers individuels ou collectifs. Chacune fait sa petite erreur et ça s’accumule. »

Heureusement pour Metz, ça n’a pas encore de conséquences en championnat. Hier, les partenaires de Grace Zaadi s’en sont sorties grâce à un final sérieux (22-22, 53e puis 24-27, 59e ). « Mais il ne faut pas espérer quoi que ce soit au Final Four si on joue comme ça », prévient Gnonsiane Niombla, sans montrer d’inquiétude.

« Personne ne pensait que ce serait un match facile », relève son coach. « Si on n’est pas bousculé à ce moment-là de la saison, on ne le sera jamais. Maintenant, on a 4 buts d’avance, soit à peu près autant qu’après Bucarest (31-26). J’attends la même exigence de travail que dans la semaine qui avait suivi. »

À Nantes, Thibaut GAGNEPAIN

Smits et Houette décollent, Kanor sombre

Xenia Smits : 8/10

L’Allemande a encore été précieuse, dimanche à Nantes. Ses trois buts en fin de partie (7/9 au total) pèsent lourd avant la demi-finale retour, vendredi aux Arènes. Exclue deux fois (24e , 38e ), elle a su se tenir pour terminer la rencontre. Sans baisser d’intensité et sans oublier d’impacter des adversaires accrocheuses.
Manon Houette : 7/10

L’ailière gauche a envoyé de sacrés missiles ! Mais pourquoi tant de haine ? « Je ne sais pas », rigole-t-elle. « Mais ça explique pourquoi j’ai eu du déchet (7/11). » D’abord en échec face à Gabriel (0/2), elle s’est bien reprise et a été impériale aux jets de sept mètres (4/4).

Les Nantaises : 7/10

Certes, elles n’ont pas toujours fait dans la dentelle... Mais quelle énergie, quel acharnement voire quel vice parfois ! Elles ont donné l’impression de jouer le match de leur saison face à Metz. Qui a trouvé un vrai bel adversaire à qui parler.

Orlane Kanor : 4/10

Précieuse contre Toulon mercredi, la Guadeloupéenne a plongé face à Nantes. C’est simple : elle a raté tout ce qu’elle a tenté au tir (0/5). À tel point qu’Emmanuel Mayonnade ne lui a pas redonné sa chance après la mi-temps, laissant l’arrière gauche à 11 petites minutes de jeu.

Le jeu messin : 5/10

Cette équipe traverse une période un brin délicate. Pas en termes de résultats bien sûr mais dans ses contenus de match. À Nantes, les Messines ont alterné l’excellent et le médiocre, avec encore 17 pertes de balles marquées par des erreurs aussi grossières qu’inhabituelles. Pas très rassurant à deux semaines du Final Four de la Ligue des Champions...

T. G.

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115912]

françoise

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françoise

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Posté le : 30/04/2019 à 07:45 (Lu 25064 fois)
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rl du 30/04/2019

Metz Handball sait aussi donner des coups
Quand les débats se durcissent physiquement, comme dimanche en demi-finale aller du championnat à Nantes (28-24), les Messines sont contraintes de faire évoluer leur jeu. Un souci ? Pas vraiment. Elles disposent des arguments nécessaires.

« On n’est peut-être pas assez roublardes… On manque parfois de ce vice qui nous permettrait de nous rendre la vie plus facile. » Le constat est signé par l’arrière messine Gnonsiable Niombla, quelques minutes après le succès à Nantes dimanche (28-24). Après une demi-finale aller de Ligue féminine rendue âpre par les partenaires de Camille Ayglon.

Ce n’était pas la première fois cette saison que les Lorraines se faisaient bouger autant physiquement. En France, c’est rare. Au niveau européen, moins. Les multiples rencontres de Ligue des Champions contre Bucarest ou Pogdorica ces dernières années en sont les exemples parfaits.

À chaque fois, cela oblige les joueuses d’Emmanuel Mayonnade à s’adapter. À accepter que leur jeu de transition ne puisse pas être récité aussi facilement. En sont-elles capables ? Les victoires récentes en Loire-Atlantique ou en Roumanie plaident en ce sens. La défaite dans la capitale monténégrine début novembre (23-19) un peu moins. Alors, verdict ?
« Des petits trucs méchants… Mais c’est normal »

« Pour moi, c’est une vraie connerie de penser ça », répond sans nuance le coach messin. « Ça revient à dire que des filles comme Xenia Smits ou Béatrice Edwige ne seraient pas capables de rivaliser physiquement. Pire, que l’équipe manquerait de caractère et se cacherait par moments. On a aussi gagné à Rostov et je ne suis pas sûr qu’on avait en face de nous des gens sympathiques. »

À Nantes non plus. Mais ses joueuses l’ont accepté et s’en sont sorties grâce à leur capacité d’adaptation, leur foi en cette force collective et leur talent individuel. La performance de Smits en est un symbole. L’Allemande (7/9 au tir) n’a pas semblé un instant troublée par la tournure des événements. Des coups, quels coups ?

« C’était un match de handball, avec des contacts et des petits trucs méchants oui… Mais c’est normal », souriait-elle à la fin de la partie, aussi douce en dehors du terrain qu’elle avait été engagée dessus. L’arrière gauche était davantage ennuyée par les « petites erreurs simples » commises ici ou là pendant la partie. « Bonne nouvelle, on a une semaine pour travailler tout ça. » Et se préparer à une nouvelle confrontation musclée.

À Nantes, Thibaut GAGNEPAIN

Nocandy et Zych sur le banc : des « choix »

Officiellement, elle est entrée deux secondes sur le terrain. En réalité, Méline Nocandy a observé la victoire des Messines à Nantes depuis le banc, dimanche. La jeune demi-centre, qui revenait tout juste d’une blessure aux cervicales, aurait-elle été préservée ? « Non, pas du tout », répond son entraîneur Emmanuel Mayonnade. Et Aleksandra Zych, qui n’a pas non plus mis un pied sur le terrain ? « Un choix aussi », répond encore le technicien, peu prolixe.
Prudence avec Maubon

Touchée aux cervicales depuis un coup reçu contre Bucarest, Marion Maubon jouera-t-elle contre Nantes vendredi ? « Elle s’entraîne ce lundi avec le préparateur physique et on avisera ensuite », détaille son coach, prudent.


Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115959]

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Posté le : 02/05/2019 à 09:31 (Lu 24812 fois)
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rl du 2/05/2019

Pourquoi Metz Handball joue sa demi-finale vendredi soir

Les Messines joueront leur place en finale du championnat de France, dès vendredi (20 h) face à Nantes.

Initialement programmée samedi, la rencontre a été avancée en raison du G7 de l’environnement, qui se tiendra dimanche et lundi au Palais des congrès de Metz, à quelques centaines de mètres des Arènes.

Quelles conséquences pour le club champion de France et pour ses spectateurs ? De nombreux secteurs seront bloqués dès samedi et tous les véhicules devront quitter l’avenue Louis Le Débonnaire avant 23 h… Il s’agira donc de ne pas trop traîner au buffet d’après-match !

Metz Handball jouera dans les conditions habituelles… devant les caméras de beIN Sports. La chaîne payante, qui avait réservé un créneau pour le samedi soir, a dans un premier temps annoncé qu’elle ne ferait pas le déplacement en Lorraine vendredi. Avant de revenir sur sa décision. La demi-finale retour sera donc bien diffusée à la télévision, tout comme l’autre affiche opposant Brest à Nice.

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [115986]

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Posté le : 03/05/2019 à 09:45 (Lu 24702 fois)
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rl du 03/05/2019

Metz Handball : les dernières heures de vérité
Les Messines sont à soixante minutes de leur quatrième finale d’affilée de Ligue féminine. Victorieuses de quatre buts à l’aller (28-24), elles accueillent Nantes ce vendredi aux Arènes (20 h) avec la volonté de finir le travail.

C’est une régularité qui n’étonne plus personne. Le patron du championnat de France compte bien s’offrir, ce vendredi soir, sa quatrième finale de suite. Sa chasse aux records est devenue une habitude et son 23e sacre national est à portée de main. « C’est génial pour tout le club et très important pour la stabilité de la structure », note l’entraîneur Emmanuel Mayonnade. « La façon dont cela a été obtenu, au sortir d’une saison régulière où l’on finit premier, est assez réjouissante. »

Grâce à ses quatre buts d’avance (28-24) ramenés de Nantes en demi-finale aller, Metz s’avance en position de force dans ce second round qui promet encore une intensité physique de tous les instants.

« On doit s’attendre à un match dur, physique sur les duels. Un peu comme ce qu’on a connu là-bas », appuie l’arrière gauche Orlane Kanor. « Ce ne sera pas un match facile, c’est une certitude. Notre avance ? On sait qu’il faut reprendre la rencontre à zéro, le but est de faire encore mieux qu’à l’aller. »
« Il se passe quelque chose de particulier »

Sa coéquipière Manon Houette ne dit pas mieux : « Le +4 à Nantes ? Peu importe, on doit jouer ce match à fond. C’est sûr que c’est une belle option car on est reparti avec le plus gros écart de la rencontre. On veut prouver à tout le monde que si le championnat avait été régulier, Metz aurait été le meilleur club cette année. »

« On se dit qu’on n’a plus le choix, peu importe l’adversaire en quart de finale, demie ou finale », insiste l’ailière gauche. « Il faut juste jouer notre jeu, mettre les ½illères, se concentrer sur nous et aller gagner ce titre. »

Avant cela, il faudra passer l’obstacle nantais. « On s’attend à un match compliqué, serré », conclut Emmanuel Mayonnade. « On aura de bons et de mauvais moments dans le match. Charge à nous de bien les digérer. »

Nicolas KIHL

Metz Handball : Marion Maubon ne jouera pas contre Nantes


À l’infirmerie

Le retour de Marion Maubon attendra un peu. Touchée aux cervicales contre Bucarest en Ligue des Champions, l’ailière gauche « ne jouera pas vendredi. Elle a encore mal », confirme le président et médecin du club Thierry Weizman. « On espère qu’elle reprendra l’entraînement la semaine prochaine. »

Jour inhabituel

Les Messines n’ont pas l’habitude de jouer un vendredi et leurs supporters de les soutenir un tel jour. « La location marche bien. On ne sera pas rempli comme un match de Ligue des Champions, c’est sûr », avoue Thierry Weizman.

Manon Houette : Metz Handball « n’est pas une équipe qui gère »

Manon Houette, vous avez été bousculées à Nantes lors de la demi-finale aller de championnat. Mais vous êtes quand même rentrées avec un précieux +4 (28-24)…

« On ne peut pas gagner tous nos matches de 10 buts ! Les Nantaises ont fait de gros progrès, elles ont réussi à créer un vrai collectif. Il y a un nouveau coach ( le Danois Allan Heine ) qui met de l’enthousiasme dans cette équipe et il y a de bonnes joueuses. Elles ont mis du temps à créer quelque chose et là, les résultats sont visibles. C’était un match accroché en raison de la qualité de l’adversaire. Nous, on a connu un peu trop de pertes de balles, on n’a pas réussi à rendre une copie propre. »

À quoi s’attendre ce vendredi soir aux Arènes ?

« Je pense que ce sera un beau match et un vrai combat, comme à l’aller. Il y a un enjeu énorme car si on arrive à les battre, c’est une place en finale au bout. On serait dans les trois objectifs annoncés en début de saison. »

Comment gérer ce précieux avantage ramené de Loire-Atlantique ?

« On n’est pas une équipe qui gère. Il faut gagner ce match. Dérouler du beau jeu, jouer notre jeu surtout. Montrer une grosse défense, avoir l’envie de jouer les contre-attaques à fond, baisser nos pertes de balle et trouver des solutions plus claires en attaque. »

Le Final Four (les 11 et 12 mai) de la Ligue des Champions est-il déjà dans un coin de votre tête ?

« On a eu une grosse semaine de travail en ne pensant qu’à ce match retour vendredi. Même si, évidemment, ça trotte un peu dans les têtes, on n’a pas encore parlé de ce qui nous attend la semaine prochaine. Pour le moment, c’est Nantes et faire un gros match vendredi. C’est important pour nous, pour bien enchaîner. »

Collectif des sportives : le haut niveau vu par le prisme des femmes
Une association, opérationnelle en septembre, va tout faire pour aider le parcours des sportives, notamment face à des inégalités sexistes. Le concept va d’abord se tester en Occitanie avant, si tout va bien, de s’étendre à la France. La Moselle a déjà son ambassadrice…

Le projet devrait être national d’ici 2024 et compte déjà une ambassadrice dans certaines villes, dont Metz. Mais Allan Fenoglio, après discussion avec les comités olympiques et sportifs départementaux et régionaux, testera d’abord le projet en Occitanie. Comme un laboratoire pour son Collectif des sportives. « J’ai contacté les grands clubs pros et un crowdfunding lancé en mai permettra de rendre le projet viable dès septembre. »

Son idée ? Entraîneur de foot en D2 pour Mâcon et le Toulouse FC, responsable du développement du foot féminin de l’Université de Bourgogne, il a constaté : « Il faut créer un accompagnement sportif, professionnel et personnel pour un épanouissement vers la performance sportive pour les femmes. » Des rencontres avec douze sportives de haut niveau l’ont mené à cerner six attentes essentielles.

Juridique

« Les contrats comportent souvent des clauses interdisant de tomber enceinte ! Et quand une sportive annonce une grossesse, ses sponsors la laissent carrément tomber ! » L’homme de 31 ans a rencontré des responsables de Pôle Emploi, la Caf et la Sécurité sociale pour voir ce qui est faisable pour ces sportives qui voudraient s’offrir une parenthèse maternelle.
Reconversion

« Il y a 96 % de différence de salaire entre un homme et une femme dans le foot. Idem dans d’autres sports. Une sportive n’a pas le choix, elle doit préparer sa reconversion. Le collectif les y aidera. »
Gestion de l’image

Une sportive doit avoir une stratégie de communication sur les réseaux sociaux pour retenir l’attention des marques, comme égérie ou pour le sponsoring. « Mais elles mélangent parfois vie professionnelle et privée. Il y a des risques. Par exemple, la tentation d’être un peu dénudée pour augmenter le nombre d’abonnés et attirer les marques : ce n’est pas toujours judicieux et il faut apprendre à gérer sa stratégie. » Allan Fenoglio relève une autre injustice : « Une femme doit être et une sportive et une jolie fille pour retenir l’attention des marques ; pour un homme, seules de bonnes perfs suffiront. »
Performances améliorées

Tous les clubs n’ont pas de préparateurs physiques ou de quoi permettre une récupération : « Le collectif sera collecteur de fonds privés pour délivrer des bourses aux sportives, afin qu’elles puissent profiter de structures proposant ostéopathie, kinés, hypoxie ou encore cryothérapie. »
Autour de la maternité

Le collectif, toujours via une structure de récupération, vise à faire retrouver leur meilleur niveau aux sportives après une maternité. « Plusieurs sportives, dont Frédérique Jossinet, Charline Picon, Béatrice Barbus évoquent les sponsors qui les ont lâchées. Mais on a aussi à l’esprit l’exemple de Laura Glauser qui a eu un enfant un an et demi avant de remporter le championnat d’Europe ! »

Sponsoring

« On prévoit une mise en relation avec des entreprises. Le mécénat leur permettra de budgéter leur saison, surtout dans les sports individuels. »

Pauline Weber est une athlète d’A2M. L’Hayangeoise est entrée en contact avec Allan Fenoglio après avoir vu une publication de Laura Ripplinger, qui est ambassadrice pour Nancy, sur Facebook. « Mon rôle sera d’aller à la rencontre de sportives pour faire connaître ce projet. » Révoltée par la différence hommes-femmes, elle assure : « Il faut être dans le très haut niveau pour qu’on parle des sportives et, dans l’inconscient collectif, une femme ça ne fait pas de sport. Ou moins que les hommes. » L’étudiante de 18 ans indique : « J’entends encore quelqu’un dire un jour, à un garçon : Pauline, elle court plus vite que toi, t’as pas honte ? » Sportive d’un bon niveau et pas encore de haut niveau, elle remarque déjà : « L’intensité à laquelle je fais du sport, ainsi que les compétences que d’autres filles et moi pouvons avoir, ça choque. »

Si tout va bien, le projet du collectif deviendra national avant cinq ans. D’ici là, Pauline Weber ne manquera pas de faire du prosélytisme, via des flyers voire des interventions à la fac. Pour le président, « on a besoin de sportives qui veulent faire bouger les choses. Le terme collectif n’est pas anodin ».

Vincent TRIMBOUR

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116008]

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Posté le : 04/05/2019 à 07:47 (Lu 24525 fois)
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rl du 4 mai
Metz Handball fidèle au rendez-vous !
Metz s’est hissé en finale de Ligue féminine pour la quatrième année de suite. Victorieuses de quatre buts à Nantes, les joueuses d’Emmanuel Mayonnade ont maîtrisé leur demi-finale retour (33-22) vendredi soir aux Arènes. Place maintenant au Final Four !

e match

Voilà Metz en finale pour la quatrième année d’affilée ! Les joueuses d’Emmanuel Mayonnade ont fini le travail avec la manière (33-22) ce vendredi soir aux Arènes. Les Mosellanes attendent maintenant avec impatience le nom de leur adversaire (l’autre demi-finale entre Brest et Nice se joue dimanche). Avec une forte envie de décrocher leur 23e titre de champion.

Metz a tué le suspense en trente minutes. Le temps de poser de solides bases des deux côtés du terrain. Il a resserré sensiblement ses lignes en défense et monté d’un cran encore le curseur sur son agressivité, n’a pas beaucoup raté devant le but également. Cela avait été demandé par le staff par rapport au match aller où les Messines avaient ramené quatre précieux buts d’avance (28-24). Cette demi-finale retour n’a jamais donné de frissons au public des Arènes grâce à un départ canon (6-2, 10e , 10-3, 16e ). Metz s’est régalé et a privé de ballons faciles les joueuses de du très gesticulant danois Allan Heine. Sa gardienne Armelle Attingré prenait de plein fouet les vagues incessantes des Lorraines sans pouvoir rien faire (12-5, 20e , 20-12 à la pause). Il s’est ensuite appliqué à faire gonfler le tableau d’affichage avec quelques approximations (28-16, 48e puis 30-20 à la 55e ).

Les statistiques

15. C’était un gros point noir à corriger, Metz n’a pas réussi dans son entreprise hier soir. Après avoir perdu 17 ballons au match aller, les championnes de France en titre en ont, cette fois, laissé 15 à leur adversaire du soir. De quoi faire un peu pester Emmanuel Mayonnade ? « Je les relativise un peu car on n’est pas dans un match hyper serré. On a continué à prendre quelques risques. Ce n’est pas le genre de rencontre où j’ai tendance à faire ressortir les balles perdues. »

La déclaration

Astride N’Gouan, pivot de Metz : « Je suis super contente et fière de jouer toutes ces finales avec Metz. La fin de saison s’annonce passionnante. Il fallait jouer ce match comme si on n’avait pas créé d’écart par rapport au match aller, ne pas penser au +4 ramené de Nantes. Les mots d’ordre étaient de bien défendre, de monter vite les balles comme on sait le faire. Après notre bonne entame, on a bien géré notre avance. Un nouveau départ nous attend avec le Final Four. On a toutes hâte d’y être. »

Nicolas KIHL

Handball : les notes du match Metz-Nantes

Ekaterina Levsha : 9/10

Elle a été tout simplement parfaite ! L’ailière russe a signé la meilleure prestation messine en attaque, avec ce joli 6/6. Débarquée de nulle part à l’automne, pour remplacer au pied levé Ailly Luciano, Ekaterina Levsha, qui ne parle ni anglais ni français, réalise une saison impressionnante.

Orlane Kanor : 8/10

La jeune championne du monde n’a pas pour habitude de cogiter… Après son zéro pointé à Nantes, dimanche en demi-finale aller (0/6), l’arrière gauche s’est fait pardonner d’entrée, avec cette passe sublime pour sa copine Méline Nocandy. Puis, elle a inscrit quatre buts magnifiques dont il serait vraiment difficile de se lasser.

Astride N’Gouan : 7/10

Les Messines ont brillé en attaque et la pivot, toujours bien servie, en est le parfait exemple. Elle a enchaîné trois réalisations en quelques minutes et permis à Metz de s’envoler très vite en début de match. L’internationale française a ensuite perdu en efficacité. Dommage !

La prestation messine : 9/10

Cette équipe a du caractère. Il en fallait pour avancer avec autant de panache et de confiance, ce vendredi, après les coups reçus à l’aller. Jamais Nantes n’a eu l’occasion d’espérer rejoindre la finale du championnat de France. Manon Houette, reine des contre-attaques, Grace Zaadi, irréprochable aux jets de sept mètres, ou Gnonsiane Niombla s’en sont assurées.

Le public : 9/10

Le FC Metz disputait un match à domicile au même moment et l’avenue des Arènes était difficilement accessible avant le G7 de l’Environnement, mais ils étaient 3 400 supporters, heureux, bruyants, à fêter cette équipe messine qui s’apprête à vivre une folle fin de saison.
La. M.

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116047]

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rl du 05/05/2019

Metz Handball : le meilleur est avenir ?
En se qualifiant pour une nouvelle finale de championnat, Metz Handball est au rendez-vous de ses ambitions. Ligue féminine, Coupe de France et Final Four : les joueuses d’Emmanuel Mayonnade sont lancées vers une fin de saison rêvée.

Metz est à la fête ! La ville a vécu deux beaux moments de sport vendredi soir. Ses handballeuses se sont qualifiées pour une nouvelle finale de Ligue féminine en surclassant Nantes (33-22) et ses footballeurs ont été sacrés champions de Ligue 2. Voilà les joueuses d’Emmanuel Mayonnade lancées dans une fin de saison de folie en ce mois de mai. « Ce n’est pas seulement une quatrième finale consécutive en championnat, il y a aussi une finale de Coupe de France et un Final Four européen. On n’a toujours rien gagné mais on avance bien ! », lance le président Thierry Weizman. « Je suis très content, il y avait une très belle ambiance et du monde alors que le FC Metz jouait à la même heure et que le G7 était en préparation. Ça fait longtemps qu’on n’avait pas joué un match comme ça, on a retrouvé une belle équipe. »

Le chemin est encore long mais le club mosellan peut rêver d’un fabuleux triplé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes sur la scène nationale : Metz a disputé sept finales de championnat pour sept sacres depuis la saison 2008-2009. Il en est aussi à cinq finales (quatre titres) en Coupe de France.

« On se bat dur toute l’année pour y parvenir »

« Certains pensent que c’est normal que Metz soit toujours présent en finale mais c’est faux. On se bat dur toute l’année pour y parvenir », explique la capitaine Grace Zaadi. « Je suis vraiment contente car le match aller à Nantes (victoire 28-24) n’était pas très productif. On a su montrer du beau jeu et se qualifier avec la manière. »

Son entraîneur Emmanuel Mayonnade avait prévenu son groupe avant cette demi-finale retour : « Je le dis aux filles et elles me connaissent. Quand je prépare un match comme ça, j’ai toujours peur que l’adversaire soit plus déterminé car j’arrive à leur trouver des raisons de se motiver. Nantes avait la possibilité de mettre un pied en finale et c’était historique pour le club. Si on regarde un petit peu de notre côté, les choses étaient aussi emballantes. On a réussi à bien respecter cela. »

Metz peut maintenant se tourner vers Budapest et son Final Four les 11 et 12 mai. « Il ne fallait surtout pas brûler les étapes », explique Thierry Weizman. « On peut penser à la Ligue des Champions maintenant. »

« Ça y est, c’est parti ! On s'est entraîné samedi », détaille le coach Mayonnade. « Ça m’a fait un peu sourire car les filles savaient qu’on avait entraînement et j’ai entendu que certaines n’étaient pas très contentes. Je me suis permis de dire à tout le monde qu’on préparait un Final Four ! » Le premier du club.

Nicolas KIHL

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116117]

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télégramme de brest

La désillusion pour le Brest BH, éliminé par Nice !


Le Brest Bretagne Handball ne jouera pas de troisième finale de LFH d’affilée. Le club finistérien, qui s’était imposé 27-26 dans la salle de Nice à l’aller, s’est incliné à domicile, ce dimanche soir (23-27). Metz - Nice sera l’affiche de la finale.

Quelle désillusion pour le BBH. Vainqueur de la demi-finale aller à Nice (26-27), le Brest Bretagne Handball s’est incliné en demi-finale retour (23-27), ce dimanche soir à l’Arena ! Les Niçoises retrouveront donc Metz en finale, les 15 ou 16 mai (aller sur la Côte d'Azur) et 18 ou 19 mai (retour en Lorraine).

Mais leur saison n’est pas finie. Les Brestoises affronteront Nantes pour la troisième place. Surtout, elles défieront Metz en finale de Coupe de France, le samedi 25 mai à Bercy, pour tenter de conserver leur titre acquis l’année dernière.

La tension était palpable dès le coup d’envoi. Les 4,157 spectateurs présents à l’Arena de Brest ont vite compris que l’avantage brestois d’un but du match aller était anecdotique. Et que les deux collectifs allaient chèrement vendre leur peau. La première gâchette de la rencontre s’appelait Ehsan Abdelmalek. La meneuse de jeu niçoise était omniprésente et montrait la voie à ses coéquipières qui, lentement, à l’image de leurs attaques placées, s’installaient dans la rencontre. Les visiteuses faisaient la course en tête à une ou deux unités de leurs adversaires. La bagarre était à tous les étages mais, à chaque fois, il y avait un petit avantage pour l’OGCN qui virait à la pause avec trois buts d’avance (11-14).

Une deuxième période débridée

La deuxième période prenait rapidement un tour complètement débridé. Quiniou était entrée dans les cages bretonnes et semait le vent de la révolte. Brest serrait sa défense, remontait les ballons, mettait de l’impact dans ses attaques placées. Le tout finissait par payer à l’issue d’un gros temps fort puisque les locales repassaient devant, 19-18 à la 43e. Mais l’OGC Nice laissait tranquillement passer l’orage sans paniquer. Sako devenait de nouveau un casse-tête pour l’adversaire et les Aiglonnes imposaient de nouveau ce fameux faux rythme en attaque qui avait le don de faire déjouer l’adversaire et… d’agacer le public.

Cette fois-ci, le turnover était définitif. Il suffisait de priver le BBH de montées de balles. L’OGC Nice avait repris la main tactiquement et psychologiquement et ne lâchait plus la marque. Le public, les joueuses, tout le monde avait pris un gros coup sur la tête. Une véritable désillusion.



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ouest france

Laurent Bezeau : « On n’est pas encore un grand club »

Après la défaite de Brest face à Nice, qui prive les Finistériennes d’une nouvelle finale de Ligue féminine, retrouvez les déclarations des coaches des deux équipes. Forcément, Marjan Kolev était tout heureux de cette qualification et parlait de "grand exploit" quand Laurent Bezeau avouait une déception profonde, tout en rappelant que le BBH n'était "pas encore un grand club".

Laurent Bezeau (entraîneur de Brest) : « C’est une déception parce que désillusion voudrait dire que l’adversaire était faible. J’étais peut-être le seul à dire que Nice était une équipe costaude. Une déception profonde par contre, surtout quand tu gagnes à l’extérieur. Déçu mais pas de colère parce qu’on a un adversaire qui a bien joué au handball. Nice a attaqué le match par le bon bout et elles ont réussi à prendre un peu d’avance, ce qui nous a déstabilisés, peut-être. On savait que le +1 n’était pas suffisant. Elles ont réussi à casser le rythme du jeu, on n’a pas su mettre plus de buts sur jeu rapide. On n’a pas attaqué le match par le bon bout et je trouve que Nice a bien négocié cette rencontre. Sako a fait les arrêts qu’elle n’avait pas faits aux matches aller. Il aurait fallu que tout nous réussisse. On n’est pas encore un grand club. On apprend encore, on va continuer à construire ce club. »

Marjan Kolev (entraîneur de Nice) : « Comment dire ? C’est un grand exploit, évidemment. Après, comme j’ai dit aux filles avant le match, c’est difficile de fixer un autre objectif une fois l’objectif atteint (celui des demi-finales pour Nice, ndlr). J’ai dit aux files de penser à la belle aventure de cette année et de faire le maximum pour qu’elle soit encore plus belle. J’ai demandé aussi aux joueuses de profiter de joueur encore quelques matches ensemble. Il faut qu’elles prennent du plaisir jusqu’à la fin de saison. Le message est passé, le groupe en a été bien conscient. C’est ça qui nous fait gagner et aller en finale de playoffs. On a pris moins de buts sur jeu rapide face à Brest, c’est ça qui fait aussi la différence avec le match aller. On est resté dans une logique de meilleure défense du championnat (Nice est l’équipe qui a pris le moins de buts en championnat cette saison), encore une fois. On a réussi à faire jouer Brest en défense placée, ce qui est notre plus grand point fort. Face à Metz en finale, on n’essaiera de profiter, de s’amuser et de les faire douter. (Sur Brest) Si vous avez un problème en interne, ça se ressent sur le terrain. Quand il y a des soucis en interne, il y a nécessairement un impact. »

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116126]

beillitse

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Posté le : 06/05/2019 à 00:51 (Lu 24248 fois)
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Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116129]

françoise

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Télégramme de Brest
Brest BH - Nice : 23-27. Brest ne verra pas la finale…

Le Brest Bretagne Handball ne verra pas la finale du championnat, une première depuis sa montée en 2016. Malgré son succès à l’aller (26-27), le BBH s’est incliné en demi-finale retour de LFH, dimanche soir (23-27) à l’Arena. Cette saison est décidément compliquée pour le club brestois…

Cette demi-finale retour de LFH résume finalement l’ensemble de la saison du Brest Bretagne Handball. C’est au moment où il semblait revenu dans les rails qu’il est sorti de la route, c’est l’année où il semblait le mieux armé qu’il réalisera sa moins bonne saison au plus haut niveau. Nice a éliminé, dans son Arena dimanche soir, le BBH (23-27), une semaine après le succès à l’aller sur la Côte d’Azur des Brestoises (26-27), qui maîtrisaient leur sujet depuis le début des play-offs. La finale semblait leur ouvrir ses bras, pour retrouver Metz comme en 2017 et en 2018. La finale attendue depuis le début de la saison n’aura pas lieu.

« Ce n’est pas une désillusion, mais une déception. Ou alors ça voudrait dire que l’adversaire était faible. Je ne suis pas en colère, regardez, mais forcément très déçu », a réagi Laurent Bezeau. Les Niçoises méritent, sur cette manche retour qu’elles ont maîtrisée, de prendre la « place » de Brest.

Brest recule

L’équipe de Marjan Kolev a appuyé où ça fait mal. « On a essayé de faire douter Brest, ça s’est joué sur le plan psychologique, a livré l’entraîneur vainqueur, qui a suivi la saison finistérienne. Vous ne pouvez pas aller dans un combat quand vous ne faites pas confiance à celui qui doit vous protéger. Quand, dans une famille, il y a des soucis à l’intérieur, ça a un impact. En 2016, on a joué les play-downs parce qu’on avait eu un problème interne… »

Nice s’est relevé de la lutte pour le maintien en 2016 pour jouer, en 2019, une finale de championnat de France. Brest, qui peut aller chercher la troisième place contre Nantes (11 ou 12 mai et 18 ou 19 mai) et jouera la finale de Coupe de France le 25 mai face à Metz, n’est pas tombé si bas. Il y aura moins de chemin pour se relever. Mais le BBH finira moins haut que la saison dernière (finale en LFH et victoire en Coupe de France), dessinant d’ores et déjà un recul. Après deux premières saisons à combler l’écart sur le champion de France, qui avait dû s’employer lors de chaque finale bresto-messine, le BBH a vu cette année l’écart se creuser devant et se réduire derrière. Cette année, le troisième de la saison régulière, Nice, jouera la finale de LFH à la place du deuxième.

« La saison a été longue et difficile… »

Metz, premier club français en Final Four de Ligue des champions les 11 au 12 mai, a franchi un cap énorme, c’est vrai. La concurrence en France s’est densifiée et Brest a cumulé les absences de joueuses toute la saison (« quel club serait capable de jouer une demi-finale sans cinq internationales ? », a interrogé Bezeau).

Mais dans le même temps, Brest a régressé.

« On va prendre un peu de mesure, se poser. Et on va travailler, encore, pour faire de Brest un grand club. On n’est pas encore un grand club. Vous regardez le budget, le public. Mais on n’a que deux Coupes de France, et ce sont les titres qui font un grand club ». Les grands clubs jouent les finales nationales et la Ligue des champions. Ce ne sera pas le cas des Brestoises la saison prochaine, qui verront vraisemblablement la Coupe EHF (C2).

C’est la moins bonne saison depuis 2016 mais « au regard de la saison, des problèmatiques, des remous, c’est déjà bien, a soufflé son entraîneur. La saison a été longue et difficile… »



Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116132]

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RL

Metz Handball : de la misère à la lumière
Au bord de la faillite en 2005, Metz est « mort » pendant quelques heures. Avant de renaître, sous l’impulsion de Thierry Weizman, Isabelle Wendling et Olivier Krumbholz. Récit d’un crash évité.

Mars 1999 : le début du « délire »

Dix ans après son premier titre de champion, Metz est au sommet. L’ASPTT joue la Coupe d’Europe et résiste à l’ascension de son grand rival, Besançon. Le 8 mars 1999, le Palais des Sports part en fumée. Cette nuit-là, les Messines vont perdre leur salle… et leur équilibre. « La Ville a accordé une subvention exceptionnelle au club après cet incendie, pour compenser le manque à gagner », retrace Olivier Krumbholz, premier coach de l’ASPTT en première division (1989-1995). « Ça a considérablement augmenté le budget. C’est là qu’il aurait fallu avoir une certaine prudence, qu’on n’a pas eue… Le déséquilibre s’est créé à ce moment-là. C’est le début du délire ! »



Printemps 2005 : la « catastrophe » révélée

Au fil des ans, et avec l’arrivée de Paul Kauffmann à la présidence, l’ASPTT Metz s’enfonce… En 2005, elle est « en bout de course ». La dette atteint 1,4 million d’euros et les dirigeants s’échappent, les uns après les autres. « Kauffmann a fait fuir tout le monde. Il mentait, il piquait dans la caisse, il s’est fait plaisir pendant 18 mois. Il a sciemment été dans le mur », révèle Krumbholz. La Ville de Metz finit par dire stop… « À partir de là seulement, la débâcle s’est arrêtée et le désastre a été mis au jour. On savait que la situation était mauvaise, on a découvert qu’elle était catastrophique. »

Juillet 2005 : la petite « mort »

Au bord de la liquidation judiciaire, le club a usé tous les recours. Début juillet, la décision est confirmée en appel par la Fédération : Metz est rétrogradé administrativement en deuxième division. « Là, on n’est plus au bord… Le club est mort à ce moment, c’est terminé. Moi, je suis à la fois désespéré et scandalisé », se souvient le sélectionneur des Bleues, omniprésent au cours de cet après-midi crucial. « Après, ça se joue en quelques heures. Les joueuses, qui ont accepté d’attendre jusqu’en juillet, sont sur le point de partir. Pour nous, c’est catastrophique parce que le club marchait bien, sportivement. » Et puis, le miracle. « On découvre qu’il y a une troisième voie : le Comité national olympique et sportif. Mais on est loin d’avoir les fonds nécessaires… » Olivier Krumbholz et Isabelle Wendling, la capitaine emblématique du club, lancent alors une souscription. 72 000 ¤ seront récoltés en huit jours.



Septembre 2005 : la seconde chance

L’élan de solidarité a payé. Le sort de l’ASPTT est devenu un « enjeu politique », la municipalité a mis la main à la poche et début septembre, les Messines retrouvent in extremis la première division. « Jean-Marie Rausch (alors maire de la ville) , qui n’était pas un acteur fondamental du sport, a fait un effort. Il a dit : j’ai fait les arènes en jaune et bleu, ce n’est pas pour rien, il faut sauver le club. C’était la plus belle image pour dire que le handball féminin à Metz ne pouvait pas mourir. » Celui-ci a désormais un nouveau visage : celui de Thierry Weizman, seul candidat à la présidence quelques semaines plus tôt, en pleine crise. Il versera des larmes de « désespoir » après la défaite messine à Yutz, en ouverture de la saison. « J’avais une montagne financière devant moi et je me suis dit : à quoi bon si on perd chez le promu ? », raconte le dirigeant.

Mai 2006 : la renaissance

Neuf mois plus tard, le club, rebaptisé H2ML (Handball Metz Moselle Lorraine), est sacré champion de France, avec un groupe réduit de huit joueuses. « C’était inimaginable », résume Weizman. « Le club a failli disparaître. Alors reconquérir le titre juste après, c’était un moment fort », savoure encore Isabelle Wendling. Dans l’ombre, le président et son bras droit, Christian Champion, directeur des magasins Cora de Metz, le plus gros partenaire privé du club (jusqu’à 45 000 euros par an), se battent pour reconstruire, « poser des fondations ». Après trois ans, H2ML avait remboursé toutes ses dettes.

Avril 2015 : l’anniversaire

Metz Handball est bien vivant. Le club fête ses 50 ans avec un tour principal de Ligue des Champions et une Coupe de France. Dix ans après la crise, le président Weizman, qui avait signé pour huit jours, est toujours là.

Mai 2019 : l’apothéose

Qualifiées pour le Final Four européen, les Messines vivent la plus belle saison de leur histoire. Thierry Weizman, lui, tremble encore chaque jour. « J’ai tout le temps peur pour l’avenir du club », reconnaît-il. « C’est toujours tendu mais la leçon a été retenue », conclut Olivier Krumbholz. « Il a fallu sortir le club de la merde mais depuis, il n’y a pas eu de crise financière. Tout cela en valait la peine ! »
Laura MAURICE




Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116169]

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rl du 07/05/2019

Emmanuel Mayonnade (Metz Handball) : « Si j’avais été joueur, c’est Xenia Smits que j’aurais aimé être »
Ils s’adorent. Ils se vouent un respect et une admiration immenses. Ils font le succès de Metz Handball. Xenia Smits et son entraîneur Emmanuel Mayonnade se retrouvent face à face pour une interview croisée, avant le Final Four, ce week-end.

Emmanuel Mayonnade, il paraît que Xenia Smits est votre joueuse favorite de tous les temps. Pourquoi ?

« Si j’avais été un joueur de haut niveau, c’est Xenia que j’aurais aimé être. Dans son engagement, elle est au top tout le temps. C’est une vraie joueuse de handball. C’est la seule du monde à pouvoir faire un bon match sans marquer un but. C’est incroyable. Ça m’aurait fait chier de la rater ! »

Xenia, vous avez choisi de rester à Metz pour Emmanuel Mayonnade. Pourquoi ?

« Depuis trois ans et demi maintenant, je me sens très, très bien préparée tout le temps. Pour les matches, pour les entraînements, même pour ce qui dépasse le handball. J’ai joué contre Manu avec mon équipe nationale (Allemagne - Pays-Bas en mars dernier) et c’était super dur de ne pas pouvoir aller le voir. Parce que je sais qu’il peut toujours m’aider, quel que soit mon problème ! C’est à cause de ça que c’est super d’être avec lui. »

E. M. : « Grâce à ça ! Sinon on dirait que c’est négatif… »

X. S. : « Ah, c’est un super professeur de français aussi ! »

Et s’il fallait trouver un petit défaut chez l’autre ?

E. M. : « Je ne sais pas dans quelle mesure elle connaît son réel niveau de jeu. C’est juste ça. On n’est pas d’accord tout le temps. Elle a du caractère, elle est dure parfois… Elle est exigeante avec elle-même, là où certaines ne le sont pas du tout. Elle se remet en question, peut-être un peu trop, mais ça n’impacte pas sa confiance, ni ce qu’elle tente. »

X. S. : « En tant qu’entraîneur, il fait exactement ce qu’il faut. Il veut toujours rajouter plus d’entraînements, plus de vidéo, plus de tout… Pour nous, joueuses, c’est parfois beaucoup. Mais ce n’est pas vraiment un défaut, si ? »

Vous souvenez-vous de la première impression que vous avez eue l’un de l’autre ?

X. S. : « Pour moi, c’était dur quand Manu est arrivé. J’étais en concurrence avec Alice (Lévêque) qui était encore une joueuse de l’équipe de France. Je devais me battre pour le poste. J’avais un peu réussi avec Jérémy Roussel et j’ai dû recommencer… »

E. M. : « Ça a été vite ! Je connaissais bien Xenia en tant que joueuse, je l’avais déjà vue plein de fois avec Blomberg (son ancien club). Elle a commencé deux matches sur le côté et après, c’était parti ! »

Avez-vous déjà été surpris l’un par l’autre ?

E. M. : « Oui, elle est de plus en plus marrante ! À chaque fois qu’elle sort une blague, je suis surpris qu’elle soit si drôle. Ce n’était pas gagné au départ. Sinon, elle ne me surprend plus, je sais tout ce dont elle est capable. Même quand elle va courir la Messine au sortir d’un match, je ne suis plus étonné ! »

X. S. : « J’ai été surprise quand il a annoncé qu’il devenait entraîneur des Pays-Bas. Ça m’avait fait un peu peur, d’ailleurs, pour Metz. Ce n’est pas facile de faire les deux ! C’était une deuxième bonne surprise qu’il reste au club. »

À quoi ressemble votre relation en match ?

E. M. : « Avec Xenia, il n’y a pas de mots plus hauts que les autres. Plutôt des regards… À Nantes la semaine dernière, elle a raté une passe, je l’ai regardé et j’ai soufflé, l’air de dire : putain non, pas toi… »

X. S. : « Il suffit que je le regarde parfois pour comprendre. Même si pendant les temps mort, je ne comprends pas toujours ce qu’il veut (rires). »

Avez-vous un souvenir commun loin des terrains ?

E. M. : « Ah, je pense à un truc ! On n’a jamais fait la fête ensemble mais… (il mime un geste de raquette).

X. S. : « Non, je ne veux pas me souvenir de ça. Il m’a battue au squash mais difficilement ! »

Avez-vous déjà imaginé vous retrouver ensemble dans un autre club ?

X. S. : « Ça peut arriver, on ne sait jamais ! »

E. M. : « C’est complexe parce que si je pars de Metz, ça me ferait chier de prendre l’une des meilleures joueuses du club ! Dans quatre, cinq ans peut-être… Mais je n’y ai pas pensé. »

Jusqu’où vous voyez-vous aller ?

E. M. : « J’aimerais bien qu’elle aille un jour aux Jeux Olympiques avec l’Allemagne. »

X. S. : « J’espère qu’il fera encore progresser les Pays-Bas. Et avec Metz, qu’il réussira à gagner la Ligue des Champions cette année ! »

Même quand elle va courir La Messine au sortir d’un match, elle ne me surprend plus

Mayonnade la voulait déjà à Mios

Et si Xenia Smits avait rejoint Mios plutôt que Metz en 2015 ? Cette possibilité a existé. Alors entraîneur de l’équipe bordelaise, Emmanuel Mayonnade avait été conquis par l’Allemande.

« J’étais tombé sur un match de son club, Blomberg, et là, je vois une fille de 16 ans qui défend devant, un peu comme elle voulait… C’était vraiment impressionnant », rombobine le technicien, qui avait alors contacté la joueuse. « Une fois, deux fois, trois fois, tous les ans en fait », rigole-t-elle. « Mais j’étais très jeune et très bien dans mon club, c’était parfait pour la formation. Je ne me voyais pas partir pour Mios. Le soleil, la plage, c’est bien, mais ça ne représentait pas un pas vers l’avant ! »

« L’argument est tout à fait recevable, je te proposais le même club que Blomberg, mais en France », réagit le Girondin, pas du tout rancunier. « Quand on voit ton parcours aujourd’hui, tu as eu raison de refuser ! » Leur collaboration n’a débuté qu’à l’hiver 2015. Cette fois, Xenia Smits ne pouvait plus lui dire non.

Laura MAURICE (avec T. G.)

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116205]

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rl du 08/05/2019

Metz Handball : les chiffres mirobolants du Final Four
Les Messines vont découvrir un autre monde, ce week-end. Le Final Four est le grand événement du handball européen, aussi lucratif que populaire. Plongée en chiffres dans cette compétition hors norme.

125 932 euros

Le Final Four, c’est le pactole assuré. Quoiqu’il arrive ce week-end à la Papp László Arena de Budapest, Metz Handball touchera au moins 125 932 euros. C’est le plus petit montant offert par la Fédération européenne (EHF) dans ce dernier carré, pour l’équipe classée quatrième.

Si le champion de France parvient à se hisser en finale, ses gains atteindront alors 156 313 euros. Et s’il soulève la Ligue des Champions, il empochera la coquette somme de 186 635 euros ! « Mais il faut déduire les frais d’arbitrage », rappelle Thierry Weizman, le président messin. Pour le tour principal, ces derniers s’élevaient à 15 000 euros.

17 000 euros

Le Final Four, c’est aussi des dépenses importantes pour les quatre clubs qualifiés. Chaque équipe doit financer le voyage d’une délégation de vingt-quatre personnes dans la capitale hongroise. Coût total pour Metz : 17 000 euros de billets d’avion ! « On attend de voir si l’hébergement est à notre charge », précise Thierry Weizman.*

60 000 euros

Le président de Metz Handball est un homme « prudent ». Une bonne partie de cette recette ira directement dans les caisses du club. « On va payer les frais de déplacement et on va aussi faire un geste pour les joueuses. Elles ne jouent pas pour ça mais une part leur reviendra, c’est normal », annonce-t-il. « Il devrait rester la moitié des gains pour le club. » Soit environ 60 000 euros, si les Messines terminent quatrièmes… « Cet argent ne sera pas dépensé. Il permettra de combler le déficit, s’il y en a un, ou il servira d’avance pour l’année prochaine », détaille Thierry Weizman.

12 000 spectateurs

Au-delà des seuls intérêts financiers, Metz s’apprête à vivre un week-end de handball unique. Le Final Four est un événement hors norme, avec ses invités prestigieux, ses spectacles féeriques et… ses 12 000 spectateurs. Les quatre affiches du week-end à la Papp László Arena affichent évidemment complet.

450 Messins

Ils auront sûrement du mal à se faire entendre face à la marée verte formée par les fans hongrois de Györ… mais ils seront bien là ! 85 supporters messins prendront la route en car pour Budapest, dans la nuit de vendredi à samedi. Ils retrouveront sur place les 365 spectateurs qui ont acheté leur place auprès du club lorrain. Et tous les autres…

Même les supporters du FC Metz seront représentés : 17 membres de Génération Grenat feront le déplacement vendredi… le jour du derby face à Nancy.

Laura MAURICE

Alain Kosmicki, l’amour vagabond



À ce rythme-là, il n’aura bientôt plus assez de place dans ses albums photos. Alain Kosmicki en dédie un chaque saison à son club de c½ur, Metz Handball. Il en possède déjà six et le septième risque d’être bien chargé !

« Le souci, c’est que c’est limité à 144 pages », explique le jeune homme de 32 ans. « À chaque match, je prends entre 100 et 150 photos et après, je dois faire une petite sélection. » Radicale tant le fan assiste à de rencontres. Aux Arènes mais pas que.

« Où est-ce que je suis allé ? C’est plus simple de dire quel déplacement j’ai manqué », rigole-t-il. « J’ai raté six matches à l’extérieur cette saison, aucun en Ligue des Champions. » La passion l’a ainsi porté jusqu’à Rostov-sur-le-Don, Larvik ou Pogdorica, pour ne citer que les plus longs voyages.

« C’est vraiment la première année que je fais tout ça », détaille l’Illangeois, en liant ce vagabondage nouveau à la stabilité de son contrat. « Depuis que je suis en CDI chez Safran, à Florange, je suis plus libre. Je travaille souvent du lundi ou jeudi donc ça me laisse du temps. »
« Je vais là où le vent me mène »

Et de l’argent ? L’agent de maintenance estime à 3 000 ¤ le coût de ses péripéties cette saison, dont 800 ¤ pour le seul déplacement en Russie. Sans s’en plaindre. « À chaque fois, j’essaie d’arriver avant le match ou de partir un ou deux jours après, ça me permet de visiter. »

Pour le Final Four de la Ligue des Champions, il a même posé une semaine de congé. Avec voyage à Nice pour la finale aller de Ligue féminine, dans la foulée, évidemment. La passion… Elle ne le quitte plus janvier 2012 et son « coup de foudre » pour les Messines.

« Je ne suivais pas trop le hand avant le Mondial-2011 au Brésil, quand les Bleues sont allées jusqu’en finale », raconte ce footballeur du dimanche, à l’US Illange. « Je me suis dit qu’il fallait aller voir un match aux Arènes. » Depuis, il ne les a plus quittées et possède ses places attitrées : « porte P, rang 3, places 2 et 4 ». Pour sa mère et lui. « Elle aime bien venir avec moi. »

Pas dès qu’il s’agit de prendre le train ou l’avion. Alain Kosmicki a d’abord participé aux déplacements du club, puis a voyagé avec une amie. Aujourd’hui, il est toujours seul et préfère ne pas adhérer à un groupe de supporters. « Il faudrait suivre l’avis des autres. Là, je vais là où le vent me mène. » Un peu partout, le maillot de Xenia Smits sur le dos.

Thibaut GAGNEPAIN

Bravo à toi Alain !!!

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116232]

françoise

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françoise

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Posté le : 10/05/2019 à 07:06 (Lu 23599 fois)
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RL du 09 et 10/05/2019
https://c.republicain-lorrain.fr/sports/2019/05/10/vincent-gerard-la-maitrise-des-nerfs-fait-la-difference

https://c.republicain-lorrain.fr/sports/2019/05/10/rostov-deuxieme-chance

https://c.republicain-lorrain.fr/sports/2019/05/10/metz-un-groupe-de-filles-bien

https://c.republicain-lorrain.fr/encadres/2019/05/10/kristiansand-apprend-vite

https://c.republicain-lorrain.fr/sports/2019/05/09/metz-handball-decryptage-d-une-machine-a-gagner

https://c.republicain-lorrain.fr/sports/2019/05/09/zita-galic-une-bonne-partie-de-mon-coeur-est-restee-a-metz

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116242]

Alcibiade

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Posté le : 10/05/2019 à 11:28 (Lu 23511 fois)
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article de La croix:

https://www.la-croix.com/Sport/Le-Metz-Handball-feminin-secrets-dune-reussite-2019-05-10-1201020770

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116248]

crocogrenat

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crocogrenat

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Posté le : 10/05/2019 à 13:12 (Lu 24639 fois)
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( pas taper ) Pour varier un peu les sujets du topic.

https://le10sport.com/omnisport/handball/brest-handball-avec-bpifrance-nous-voulons-federer-notre-territoire-450532

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https://www.youtube.com/watch?v=60IfVFE5vIE Parc Explor Wendel

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116249]

Seb75

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Posté le : 10/05/2019 à 14:04 (Lu 24594 fois)
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Citation : crocogrenat
( pas taper ) Pour varier un peu les sujets du topic.

https://le10sport.com/omnisport/handball/brest-handball-avec-bpifrance-nous-voulons-federer-notre-territoire-450532


Un article du 24 avril



--------------------------------
Si vous n’arrivez pas en finale du championnat, ne serait-ce pas compliqué de demander une wild-card pour la Ligue des champions ?

Pour être légitime pour la demander, il faut être en finale du championnat.

Gérard le Saint. Ouest France. 04/19

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116250]

Alcibiade

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Posté le : 10/05/2019 à 14:43 (Lu 24565 fois)
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Article du monde, plus orienté sur Emmanuel Mayonnade:

https://www.lemonde.fr/sport/article/2019/05/10/handball-emmanuel-mayonnade-et-ses-dragonnes-de-metz-a-l-assaut-du-final-four_5460543_3242.html

Re: Revue de Presse 2016 - 2018 [116263]

beillitse

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Posté le : 11/05/2019 à 07:47 (Lu 24419 fois)
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